Tour Auto : le «musée roulant» traverse l’Aveyron le 23 avril

  • Comme en 2013, le Tour Auto revient tester ses gommes sur les routes aveyronnaises.
    Comme en 2013, le Tour Auto revient tester ses gommes sur les routes aveyronnaises. Repro CP
  • Comme en 2013, le Tour Auto revient tester ses gommes sur les routes aveyronnaises.
    Comme en 2013, le Tour Auto revient tester ses gommes sur les routes aveyronnaises. Repro CP
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Charles Leduc

300 équipages et autant de voitures de collection prendront le départ lundi, à Paris de l’édition 2015 du Tour Auto Optic 2000 avant de faire crisser leurs gommes sur les routes aveyronnaises le 23 avril. 

Aston Martin de 1954, Porsche 911 de 1973, Mercedes 300SL de 1955, Alpine Renault de 1970, Jaguar TypeE de 1963 et autres Ferrari. En tout, ce seront 300 équipages et autant de voitures de collection qui prendront le départ lundi, à Paris, au Grand Palais, de l’édition 2015 du Tour Auto Optic2000.

Un nouveau rallye historique qui, en six jours, mènera les concurrents jusqu’à Biarritz, et, comme en 2013, leur fera traverser l’Aveyron. Ce sera lors de la troisième étape, celle du jeudi 23 avril, entre Clermont-Ferrand et Toulouse. Comme il y a deux ans, tout un chacun pourra s’émerveiller devant les belles mécaniques lors de leur passage sur les routes du département. Mais le public aura, cette fois, l’opportunité prendre le temps de les admirer puisqu’une longue halte est prévue à Rodelle, au domaine de la Goudalie.

Une spéciale à Estaing

«Le Tour Auto arrivera en fin de matinée, après une spéciale du côté d’Estaing. Les concurrents sont attendus dans la grange du domaine, où leur sera servi un déjeuner. Ils reprendront ensuite leur chemin en direction du Tarn, où les attend notamment une épreuve sur le circuit d’Albi», présente Alain Bousquié, gérant depuis dix ans de la Goudalie.

Passionné de voitures anciennes, cet adhérent de la Magnéto du Rouergue ne cache pas sa fierté d’accueillir le célèbre rallye historique. «En tant qu’amateur, voir passer chez moi ce musée roulant est un aboutissement», dit-il. Précisant que l’organisation du rallye est systématiquement à la recherche de «lieux atypiques», il se souvient d’ailleurs d’une première prise de contact il y a trois ans, en vue de l’édition 2013.

«Mais, en raison d’un “timing” trop serré, la course n’avait pas pu s’arrêter à la Goudalie», explique Alain Bousquié. Prêt à mettre les petits plats dans les grands pour les coureurs, le gérant du domaine n’oublie pas le public. Il sait, en effet, que les curieux seront nombreux à faire le déplacement pour découvrir les voitures de légende engagées sur le Tour Auto. Pour cause, toutes seront garées sur la propriété. Et il confie même que «les modèles les plus intéressants se trouveront dans la cour». Les amateurs sont prévenus.

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