A Rodez, l'heure est venue de changer les parcmètres

Nombre d’automobilistes l’auront constaté ces jours-ci: la ville est en train de renouveler son parc d’horodateurs. Et ce parfois avec bonheur, temporaire s’entend, puisque la plupart d’entre eux, s’ils sont installés ne sont pas encore mis en service. Plus précisément, cette année, ce sont trente-huit horodateurs de nouvelle génération qui seront installés sur les quatre-vingt-seize que compte la ville.

Certes, payer le parcmètre n’est jamais très marrant, mais ce renouvellement progressif du parc d’horodateurs n’est finalement pas si inintéressant. Ces appareils-là, installés dans un premier temps sur le tour de ville, l’hyper-centre, la rue Béteille et l’avenue Victor-Hugo, offrent plus de souplesse en matière de paiement: sur le fond comme sur la forme. Désormais, plus besoin de courir chez les commerçants du coin en espérant qu’il accepte de vous faire un peu de monnaie.

La carte bleue est acceptée, le parcmètre proposant même le paiement sans contact, les pièces étant naturellement toujours acceptées. Il faut dire que ces appareils hi-tech, dans lesquels on peut entrer le numéro de sa plaque minéralogique, peuvent même recevoir un paiement par téléphone. On n’arrête pas le progrès ! Le parc devrait être totalement renouvelé d’ici à 2019, et permettra en tout cas à la ville de mener au plus près la gestion de son stationnement de surface. Sur la forme, outre leur aspect somme toute esthétique, qui a également pesé dans leur choix, ces horodateurs fonctionnent en parfaite autonomie, grâce notamment à la présence de capteurs solaires.