Soirée prestige : ça plane pour les jeunes dirigeants

  • Animée par l’énergique Philippe Risotto (premier plan), la soirée prestige du Centre des jeunes dirigeants aveyronnais a attiré plus de 600 personnes à la salle des fêtes de Rodez, jeudi.
    Animée par l’énergique Philippe Risotto (premier plan), la soirée prestige du Centre des jeunes dirigeants aveyronnais a attiré plus de 600 personnes à la salle des fêtes de Rodez, jeudi. Guillaume Verdu / Centre Presse
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Guillaume Verdu

Entreprise. Dans une salle des fêtes de Rodez comble, la section aveyronnaise du Centre des jeunes dirigeants d’entreprises a organisé sa soirée prestige annuelle, jeudi, avec la présence d’un ancien leader de la Patrouille de France et du philosophe Vincent Cespedes.

En adressant une «standing ovation» à la fin de la soirée, les quelque 600 personnes présentes à la salle des fêtes de Rodez ont libéré une bonne dose d’énergie. Cela tombe bien, c’était l’un des thèmes de la soirée prestige organisée par le Centre des jeunes dirigeants aveyronnais (CJD).

Les concepts de leadership et d’énergie positive ont été évoqués pendant près de deux heures par les deux intervenants invités par les organisateurs, le philosophe et essayiste Vincent Cespedes, ainsi que de l’ancien leader de la Patrouille de France, Bertrand Nivard. Le premier s’est adonné à définir ce qu’est l’énergie positive, tout en insistant sur l’importance de l’ambition et de la passion dans le monde de l’entreprise. Le pilote, quant à lui, a fait part de son expérience de chef du prestigieux escadron de l’Armée de l’air, notamment dans ses relations avec les autres pilotes, en mettant en avant le besoin de communiquer et la nécessité de responsabiliser ses équipiers.

29 membres

"D’habitude, ce sont des conférenciers qui interviennent dans des événements d’échelle nationale. C’est une chance de les avoir parmi nous à Rodez", s’est réjoui Léo Delhon, président du CJD. À la tête de la section aveyronnaise depuis 6 mois, il présente son organisation comme "une école du dirigeant d’entreprise et un laboratoire d’innovation".

Le CJD compte 29 membres dans le département, qui se réunissent pour partager leur expérience de dirigeant. "Tout en faisant en sorte que l’économie soit au service de l’humain", poursuit Léo Delhon. "Il faut que les dirigeants et les salariés soient bien dans leur entreprise, qu’ils puissent s’épanouir. S’il y a la même ambiance du lundi matin au vendredi soir, alors nous avons gagné."

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