Visite de l'évêché de Rodez avant le déménagement

La maquette du projet, tel qu’il sera finalisé. En bas à gauche, l’avenue Victor-Hugo et son auvent qui matérialise l’entrée principale. Droit de Cité architectes/Repro CP
C’est par cette entrée que le public et les visiteurs pourront accéder à l’évêché. José A. Torres
La croix qui a été restaurée et déménagée de l’avenue Victor-Hugo trouvera sa place au sein du patio. Le socle est d’ores et déjà prêt. Une réinstallation solennelle aura lieu entre septembre et octobre avec une messe. José A. Torres
Visite de l'évêché de Rodez avant le déménagement José A. Torres
Au milieu du tumulte ruthénois, l’ancienne chapelle du carmel qui a toujours offert une pause aux passants, pourrait-elle retrouver cette utilité, celle d’être lieu de recueillement ? C’est du moins pour l’instant, le projet du diocèse. José A. Torres
Les travaux ont été confiés à 16 entreprises, toutes aveyronnaises. Un choix souhaité par l’évêque. José A. Torres
Visite de l'évêché de Rodez avant le déménagement José A. Torres
Les archives du palais épiscopal ont été les premieres à déménager. Elles sont actuellement en cours de mise en rayonnage, lequel s’étend sur 1 km de long. Les ouvrages se répartissent - sur 500 mètres- en recueils et bibliothèque (pour un total de 20000 livres) José A. Torres
Le patio de l’évêché sera végétalisé à terme. Il est visible depuis le hall. José A. Torres
Dans le hall d’entrée et le bureau de l’évêque, les architectes ont joué sur les volumes. José A. Torres
Le bâtiment très aérien possède de nombreuses ouvertures. José A. Torres
Visite de l'évêché de Rodez avant le déménagement José A. Torres

Grand Rodez Ruthénois

Publié le 22/06/2016 à 18:53

Centre Presse Aveyron

Le palais épiscopal ferme ses portes le 4 juillet tandis que l’évêché ouvrira les siennes le 11 juillet. En attendant, les travaux vont bon train. Visite guidée d’un chantier qui a transfiguré le carmel de Rodez.

Un budget de 2,5 M€...

Le projet de rénovation de l’ancien carmel pour en faire un évêché a été estimé à 2,5 M€ dès le départ. Contrairement à beaucoup de chantiers, dans le public, celui-là n’a pas bougé d’un iota depuis le début de l’opération lancée en 2015. «C’est un chantier extrêmement stable où nous n’avons pas eu de surprises qui demandent des rallonges budgétaires», explique-t-on du côté de l’évêché.

... et 330 00€ de dons

Du coup, le montage financier n’a pas bougé non plus. 50% du budget total est issu d’un emprunt auprès des banques, 30% proviennent des réserves du diocèse (produit de la vente de terrains et de biens appartenant au diocèse) et les 20% restant viennent de la générosité de personnes qui ont donné 330 000€ (sur un objectif 450 000€). Les donateurs ont jusqu’à 2017 pour apporter leur pierre à cet édifice.

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