Triathlon du Lévezou : "On veut que ce soit populaire"

  • Dominique Granier, le coprésident de Rodez Triathlon 12, avait le sourire, à quelques heures d’unweek-end qui devrait faire date.
    Dominique Granier, le coprésident de Rodez Triathlon 12, avait le sourire, à quelques heures d’unweek-end qui devrait faire date. A.P.
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Recueilli par A.P.

Plus de 800 triathlètes sont attendus samedi et dimanche autour du lac de Villefranche-de-Panat pour la première édition du triathlon du Lévezou. Dominique Granier, coprésident du club organisateur Rodez Triathlon 12, livre son sentiment avant un week-end forcément capital pour l’avenir.

Comment s’annonce la première édition du triathlon du Lévezou, samedi et dimanche à Villefranche-de-Panat ?

En terme d’inscriptions, c’est au-delà de nos espérances. On tablait sur 600 à 650 inscrits. Finalement (les inscriptions sont closes depuis le 15 août, excepté pour les formats destinés aux jeunes prévus demain, NDLR), on est quasiment à 800 !

Une première réussite...

Évidemment, on est très enthousiastes. Mais il y a aussi un peu de crainte car on se doit d’autant plus de réussir pleinement cette première édition.

C’est-à-dire ?

Cette première édition, on la conçoit comme les fondations d’une manifestation qui doit perdurer. Le site est idéal à Villefranche avec un plan d’eau génial, des installations sur place, un gymnase, des parkings, des parcours pédestre et cycliste à proximité. Et une volonté politique très forte. Sans oublier l’appui très conséquent du club local Courir en Lévezou, notamment en terme de logistique.

D’où le déménagement de Baraqueville, où vous organisiez d’habitude vos grands rendez-vous, vers Villefranche ?

On voulait organiser un rendez-vous d’envergure sur le Ségala. Mais à Baraqueville, il n’y a pas la possibilité de mettre en place un parcours de vélo suffisamment grand.

Sportivement, le niveau s’annonce-t-il relevé ce week-end ?

Je dirais que ça équivaut à un très bon niveau régional. Avec aussi trois ou quatre pointures nationales. Mais notre objectif n’est pas forcément d’atteindre le plus haut niveau sportif. On veut d’abord que ce soit une manifestation accessible à tout le monde, d’où les différents formats. On veut que ce week-end soit populaire. Que tout le monde s’y retrouve, des triathlètes aux accompagnants en passant par les commerçants du village.

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