Traverse de Toulonjac, un trait d’union entre Aveyron et Lot

  • La sécurité des piétons a été l’un des objectifs prioritaires du chantier.
    La sécurité des piétons a été l’un des objectifs prioritaires du chantier. CP
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Centre Presse Aveyron

Elus et partenaires du projet lors de l’inauguration à Toulonjac.

Plus de six mois de travaux furent nécessaires à l’aménagement de la traverse de Toulonjac, trait d’union entre Villefranche et la vallée du Lot. Moment important dans la vie de la commune de Toulonjac que l’inauguration de la traverse RD24 du village par un aréopage d’officiels. Après avoir ébauché les grandes lignes de ce projet qui en plus du volet sécurité et embellissement du cœur du village, sert de trait d’union entre Villefranche et la vallée du Lot, tous ont salué son impact sur le territoire, non sansmettre en exergue la qualité du rendu d’un chantier qui a duré plusieurs mois.

Sécurité et esthétique

Pragmatique, le maire Jean-Louis Alcouffe est revenu sur les objectifs prioritaires de cet aménagement à savoir la sécurisation de l’accès piéton « avec 650 mètres de trottoirs réalisés », par exemple, ainsi que l’embellissement des abords, la mise en place d’un éclairage adapté, sans oublier toute la face cachée avec l’enfouissement des différents réseaux. La députée Marie-Lou Marcel mentionna : « Vous avez su fédérer les énergies… et les financeurs, même si l’investissement reste important pour la commune. »

Jean-Pierre Masbou, le conseiller départemental défendant : « la dynamique des élus symbolise la force et l’attractivité des territoires ruraux. » De son côté, le président du conseil départe- mental et sénateur Jean-Claude Luche parla de « l’intelligence collective des partenaires qui savent se regrouper pour préparer l’avenir. »

Revenant sur la situation financière des collectivités, il ajouta : « Je ne pense pas que cela ira mieux en mai 2017 et il faudra encore se serrer la ceinture un cran de plus. » Quant à Anne Calvet, représentant le préfet Louis Laugier, elle a mis en exergue « la politique dissuasive par rapport à la vitesse de ce projet qui va dans le sens de ce que fait l’État. » 

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