Villefranche : le musée municipal Cabrol change de dimension

  • Les élus et les employés municipaux devant le musée Cabrol avec à l’arrière-plan la future entrée, qui donnera une meilleure visibilité au musée.
    Les élus et les employés municipaux devant le musée Cabrol avec à l’arrière-plan la future entrée, qui donnera une meilleure visibilité au musée.
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GDM

Le musée municipal change d’échelle », se réjouit Serge Roques. Le maire et deux de ses adjoints effectuaient, hier matin, une visite du chantier en cours, sous la conduite de Cyril Pourcel et Luc Tournemire, qui suivent les travaux pour la mairie.

Ces derniers portent sur la mise aux normes de sécurité et d’accessibilité aux personnes à mobilité réduite, la modernisation de la partie accueil et une extension avec l’aménagement du rez-de-chaussée (par rapport à la rue Camille-Roques) du bâtiment attenant de l’ancien Prisunic.

« La ville possède tout l’îlot autour du musée. En même temps que nous avons réalisé les acquisitions foncières, nous avons relogé l’Association des amis de Villefranche et du bas Rouergue à la maison des Sociétés (inauguration officielle le 28 avril). Cela nous permet de doubler la surface d’exposition », explique le maire.

Une nécessité car le musée veut prendre une orientation vers les œuvres contemporaines, qui sont souvent de grands formats, comme celle de Dado.

À partir de juin (fin des travaux prévue en mai), les habitués du musée pourront apprécier le changement : nouvelle entrée, création d’une banque d’accueil dans un espace plus vaste, monte personnes desservant tous les niveaux du musée actuel, et donc nouvelle salle de 200 m², avec une attention particulière apportée sur la scénographie, un éclairage spécifique et une climatisation.

Le coût du chantier, dont une grande partie a été réalisée en régie par les équipes municipales, s’élève à 160 000 € (70 000 € pour la mise aux normes). Un investissement subventionné par l’État, au travers de la DETR, la région et le département.

Ces travaux auront une suite dans les années à venir avec l’aménagement du premier niveau de l’ancien Prisunic.

Et des idées trottent dans les têtes concernant son utilisation.

« Nous n’avons rien aujourd’hui pour présenter le passé de la ville : pièces, vases et autre », lâche Serge Roques. De qui voir déjà là un musée de l’histoire locale.   gl

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