Le Tour Auto en Aveyron

  • Ford GT 40, 1965.
    Ford GT 40, 1965. Serge Carrière/Centre Presse
  • Ferrari 458 Italia, 2010.
    Ferrari 458 Italia, 2010. Serge Carrière/Centre Presse
  • Alfa Romea Guilia Super, version vraie voiture de police.
    Alfa Romea Guilia Super, version vraie voiture de police. Serge Carrière/Centre Presse
  • Porsche 906, 1966.
    Porsche 906, 1966. Serge Carrière/Centre Presse
  • BMW 3.0 CSL 1972.
    BMW 3.0 CSL 1972. Serge Carrière/Centre Presse
  • Jaguar XK 120, 1962
    Jaguar XK 120, 1962 Serge Carrière/Centre Presse
  • Sous le capot d'une AC Cobra.
    Sous le capot d'une AC Cobra. Serge Carrière/Centre Presse
  • Ford Galaxy, 1962.
    Ford Galaxy, 1962. Serge Carrière/Centre Presse
  • Porsche 904 GTS, 1964.
    Porsche 904 GTS, 1964. Serge Carrière/Centre Presse
  • AC Cobra, avec hard top, 1965.
    AC Cobra, avec hard top, 1965. Serge Carrière/Centre Presse
  • Gerard Holtz, au volant d'une Porsche 911 de 1965.
    Gerard Holtz, au volant d'une Porsche 911 de 1965. Serge Carrière/Centre Presse
  • Lancia Stratos Gr. IV, 1974.
    Lancia Stratos Gr. IV, 1974. Serge Carrière/Centre Presse
  • Erik Comas, ancien pilote de Formule 1, au volant de sa Lancia Stratos
    Erik Comas, ancien pilote de Formule 1, au volant de sa Lancia Stratos Serge Carrière/Centre Presse
Publié le
CentrePresseAveyron.fr

La célèbre épreuve rassemblant plus de 250 voitures de rêve et des pilotes aussi connus que Jacques Lafitte ou Olivier Panis a fait escale dans le département, jeudi 25 avril.

Partis lundi 22 avril du Grand Palais de Paris, les 250 concurrents du Tour Auto 2013 ont traversé l’Aveyron jeudi 25 avril avec, au menu, une épreuve spéciale du côté de Villecomtal.
Entrée du côté de Mur-de-Barrez en fin de matinée, la longue caravane du Tour Auto 2013 est arrivé à Villecomtal à 13 h 50 (première voiture, la dernière environ 2 h 30 après) où les concurrents ont pris le départ d’une épreuve spéciale chronométrée sur la route de Mouret avant de filer à Albi pour une "explication finale" sur le circuit tarnais. Un pointage était également organisé à Rodez
Le Tour Auto permet de revoir des voitures qui ont participé à l’épreuve entre 1951 et 1973. On ne compte plus les Ferrari, Porsche, Aston-Martin, Jaguar, Lancia, Alfa Romeo et autres Ford Mustang ou BMW et Mercedes pour ne citer que celles qui seront au départ. Au total, ce sont ainsi 250 voitures de collection, dont une antique Citroën 2CV de 1955, qui seront au départ.
Mais le tour c’est également une chance d’apercevoir d’anciens pilotes tels Jacques Lafitte, Oliver Panis ou Éric Comas, bien connus des amateurs de Formule 1, ainsi que des personnalités des médias tels le journaliste Gérard Holtz ou l’animateur de TF1, Vincent Cerutti.
 

Régularité ou compétition

Le Tour Auto, est également un melting-pot international. Cette année, des pilotes venus des USA, du Japon, de Hong Kong, de Colombie et même de Nouvelle-Zélande se frottent aux concurrents européens.
Pour ce, ils peuvent choisir entre deux types de "course": régularité ou compétition. La première possibilité est moins facile qu’il n’y paraît, le pilote, toujours accompagné de son équipier, devant obéir à un seul mot d’ordre: précision. En effet, il s’agit pour lui de respecter le temps idéal déterminé. La vitesse n’intervient pas, c’est uniquement l’écart entre le temps choisi et celui réalisé (en plus ou en moins) qui induit une pénalité et permet d’établir le classement.
En mode compétition, le pilote doit prendre le départ des épreuves sur circuit en grille et seul à bord. En revanche, il garde son copilote pour les épreuves sur route. Dans ce cas, c’est le plus rapide qui l’emporte.

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?