Villefranche : la vidéoprotection en service le 5 janvier

  • Le poste de surveillance a été installé dans les locaux de la police municipale.
    Le poste de surveillance a été installé dans les locaux de la police municipale. P-J.C
  • Villefranche : la vidéoprotection en service le 5 janvier
    Villefranche : la vidéoprotection en service le 5 janvier
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Sécurité. Le système de vidéoprotection souhaité par la municipalité est opérationnel mais pas encore en service. Découverte des lieux où la sécurité des Villefranchois est assurée.

Ce n’est pas Fort Knox, mais la sécurité autour du tout nouveau poste de contrôle du système de vidéoprotection de Villefranche-de-Rouergue est des plus sérieuses. Installé dans les locaux de la police municipale, ce poste de surveillance sera opérationnel à compter du 5 février. 

"Il n’y a que les quatre agents de la police municipale qui ont accès au local, grâce à des clés codées", explique Jean-Michel Ribas, conseiller municipal en charge de la sécurité."Moi-même, je n’en ai pas. Je n’ai que la clé pour l’accès au local de la police municipale, tout comme le maire et le directeur des services techniques", précise-t-il."Les caméras fonctionnent, oui, mais rien n’est actif. La mise en service officielle aura lieu mercredi 5 février".

Villefranche : la vidéoprotection en service le 5 janvier
Villefranche : la vidéoprotection en service le 5 janvier

24 heures sur 24

Sur l’un des murs de la pièce, trois grands écrans affichent les images du centre-ville de la Bastide. L’ensemble des artères du centre-ville sont quadrillées par 32 caméras."Le principe est simple. Les caméras filment 24h/24. En revanche, il n’y aura pas d’agent en permanence devant les écrans. Ce n’est pas pour surveiller", clame-t-il.

Réquisition du procureur de la République

Stockées uniquement pendant quinze jours, les images numériques seront ensuite automatiquement compressées."Les caméras de vidéo protection sont des outils d’aide aux victimes", souligne l’élu. Et en cas de délit justement, les gendarmes auront la possibilité de visionner les images. "Mais uniquement si le local de la police municipale leur est ouvert par le maire, le directeur des services techniques et moi-même", reprend Jean-Michel Ribas. "Plus tard, ce sera l’un des quatre agents de la police municipale qui sera habilité à leur ouvrir le poste de surveillance", assure-t-il. 

Enfin , "si les images peuvent être visionnées, elles ne pourront être extraites que sur réquisition du procureur de la République", poursuit un agent de la police municipale de la Bastide.

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