Football. Tous les jours, durant la Coupe du monde, le service Sports de Centre Presse livre son "humeur du mondial". En ce dimanche, ils se sont penchés sur Footix... La mascotte des Bleus de 1998, mais pas seulement.
Petit retour en arrière. Nous sommes en 1998. Dans quelques semaines, la France accueillera son Mondial et, avec, la planète du foot. Surtout, elle va enfin accrocher une étoile au-dessus de son coq, un certain 12 juillet. Voilà pour la carte postale.
La frissonnante s’entend. Mais à quelques mois de sa Coupe du monde, la France a aussi inventé une horreur (enfin, ça n’engage que nous) : le Footix. Vous vous souvenez de cette mascotte pas très réussie ? Oui. Eh bien, croyez-le ou non, malgré son relatif ratage, elle a fait des petits. Ce que l’on nomme dans le jargon footballistico-footballistique, le... footix. Question imagination, ça n’est pas terrible. Sauf que sans le savoir, vous êtes peut-être l’un d’eux.
On n’a pas encore regardé notre dictionnaire mais, au rayon définition, cela doit donner à peu près ça : personne de sexe masculin ou féminin qui s’éprend à nouveau du ballon rond lorsqu’une équipe, la plupart du temps la France, se remet à tutoyer les sommets ; et ce, après une longue période passée à dénigrer les us et coutumes desdits footballeurs. Maintenant que la chose est plus claire, regardez autour de vous : vous les voyez, n’est-ce pas?
Alors, souriez, réjouissez-vous et sachez apprécier l’instant. Car c’est bon signe ! Les Bleus sont de retour au premier plan. Depuis leur balade suisse à Salvador, ils suscitent à nouveau la curiosité, l’envie et, soyons fous, l’amour. Et, admettons-le, sans les footix, les soirées à fêter les victoires françaises seraient moins belles. Nous, on en redemande.
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