Et Milenko Kojic, l’entraîneur bosnien débarqué des féminines de Celles-sur-Belle (D2) en 2012, devrait donc en reprendre pour une 4e saison sur le banc. Le conditionnel reste néanmoins de mise.
Des quatre clubs du département évoluant au plus haut niveau, le Roc devrait a priori être le seul à ne pas changer de tête cet été. Et Milenko Kojic, l’entraîneur bosnien débarqué des féminines de Celles-sur-Belle (D2) en 2012, devrait donc en reprendre pour une 4e saison sur le banc.
Le conditionnel reste néanmoins de mise puisque, comme le confiait hier le technicien de 61 ans, une rencontre avec les dirigeants est prévue assez rapidement et pourrait conditionner la suite.
«J’ai envie de continuer, j’aime ce club, cette ville. Mais je veux parler, voir les moyens pour la prochaine saison, etc.», précise ainsi Kojic. L’envie de poursuivre la collaboration débutée en Nationale 2, et couronnée depuis par une accession en N1 et deux maintiens, est en tous les cas commune, selon le coprésident Olivier Ferrand.
«“Micho” a toujours rempli les objectifs du club. Il n’y a pas de raison de ne pas poursuivre.» La seule nouveauté à l’étude serait en fait «d’étoffer le staff», d’après Olivier Ferrand. Reste à savoir si ce sera à l’aide d’un adjoint, d’un préparateur physique ou autres.
Nul doute que les moyens financiers devraient jouer un grand rôle dans les futures décisions. D’autant plus que l’heure est à «réduire la voilure à cause des baisses de subventions», note le coprésident qui va rencontrer les joueurs à partir de la semaine prochaine.
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