Cette année, le festival Africajarc s'ouvre de nouveaux horizons

  • Pas loin de 25 000 festivaliers sont attendus à Cajarc.
    Pas loin de 25 000 festivaliers sont attendus à Cajarc. Repro CP
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Centre Presse Aveyron

17e édition. Les organisateurs du festival lotois de Cajarc, à une trentaine de kilomètres de Villefranche, lancent une nouvelle formule avec plus de musiques, de danses... en journée. Du 23 au 26 juillet.

Près de 200 artistes, pas loin de 25 000 festivaliers et surtout 220 bénévoles pour s’occuper de tout ce petit monde: la 17e édition d’Africajarc arrive à grandes enjambées du Lot voisin, de ce bourg de Cajarc capitale «africaine» durant quatre jours, du 23 au 26 juillet. 

 «Héritiers des afriques»

Si la musique, les expos, le cinéma, la littérature et les arts plastiques sont toujours au rendez-vous, cette fois-ci les organisateurs ont décidé de franchir enfin le pas; et ce ne sont certainement pas les fidèles qui s’en plaindront, eux qui le réclamaient depuis plusieurs années. La programmation ouvre en effet ses portes aux «héritiers des afriques».

Maya Kamati, Nikki Hill, Winston McAnuff & Fixi, Zebda 

De par leurs origines, leurs histoires et leurs musiques, les artistes restent bien entendu en lien étroit avec l’essence même d’Africajarc; le festival va ainsi plus loin en proposant d’autres horizons artistiques. Des Antilles à la Jamaïque, des États-Unis à l’Algérie, de la Réunion à l’Éthiopie, dans toutes les disciplines, il y en aura pour tous les goûts. C’est ainsi que pour la première fois, le public pourra découvrir des artistes éthiopiens (Mahmoud Ahmed), américains (Nikki Hill et Kuku), jamaïquains (Winston McAnuff et Fixi), réunionnais (Maya Kamaty) et algériens avec les «Toulousains» de Zebda. 

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