Après Rodez, Villefranche dit oui à la politique du «chat libre»
Association. Face à la hausse de la population des chats dans le centre, et des problèmes que cela peut engendrer, quelques Villefranchois souhaitent les capturer pour les faire stériliser, avant de les relâcher.
«Dans toute la ville, il y a des gens qui s’occupent des chats sauvages. Nous, parce que l’on y travaille ou que l’on y vit, nous avons choisi de nous consacrer aux matous du centre. Et en créant une association, nous savions que nous aurions plus de poids.» Elle est donc née début novembre et ses adhérents ont opté tout simplement pour «Libres chats en Bastide». La présidente Annie Rothéra a ainsi quelques arguments pour limiter le nombre croissant de chats : «Notre but est de les capturer, de les faire stériliser par des vétérinaires et de les remettre sur site. Cela fonctionne très bien dans de nombreuses villes et il a été noté une baisse de la population dans celles-ci lorsque la mairie ou une association opèrent de cette façon.»
«Libres chats en Bastide»
Du coup, le bureau de «Libres chats en Bastide» n’a pas souhaité perdre du temps-la meilleure période pour la stérilisation des femelles est de décembre à février-et a déjà rencontré les élus. «Depuis le 1
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