Nationale 1 masculine (12e journée). Malgré quelques (petits) passages à vide, Aurélien Simon et ses partenaires n’ont laissé aucune chance à Saint-Raphaël II (31-26) hier soir devant leur public.
L’euphorie est certes retombée mais le Roc n’a rien perdu de son appétit. Une semaine après avoir croqué le leader Grenoble, qui ne comptait qu’une défaite jusque là, les hommes de Milenko Kojic ont récidivé hier soir, en venant à bout des réservistes de Saint-Raphaël (31-26) dans un Amphithéâtre qui affichait quasiment complet.
Le club du président Olivier Ferrand est en passe de trouver un public. Et personne n’a regretté le déplacement, même si les Aveyronnais ont connu quelques trous. Notamment lors de l’entame, puis entre la 16e et la 26e minute. La faute à quelques approximations dans la dernière passe et dans les face-à-face avec le portier azuréen. Excepté le bras surpuissant de Benhalima et la vision du jeu par séquences de Mohamed, Saint-Raphaël II n’a pas proposé grand chose.
À la différence du Roc qui a toujours cherché à mettre du rythme avec une défense agressive et un Becdro qui s’affirme comme un des meilleurs gardiens de la poule. Si Pogacnik, Ginestar (sorti sur blessure à 4 minutes de la fin), Robert et Simon ont montré que les «anciens» ont encore de la ressource, l’homme du match est sans conteste Maxime Bouquet. Monté sur ressort sur son aile gauche, il a réussi 7 réalisations, dont un « kung fu» pour clôturer le score sur une passe magique de son capitaine. On en redemande !
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