Le retour attendu des communes de Baraqueville, Manhac et Camboulazet, un temps dans le giron grand ruthénois, permet à la collectivité de se relancer.
Le Pays baraquevillois a retrouvé ses ouailles. L’épisode plus ou moins douloureux qui avait vu Baraqueville, Manhac et Camboulazet partir dans le giron grand ruthénois est désormais dans le rétroviseur, et la collectivité a repris sa forme initiale, avec les dix communes qui la compose, sous la présidence de Didier Mai-Andrieu.
En ordre de marche
Les premières «retrouvailles» officielles avaient lieu dernièrement dans la salle des fêtes de Camboulazet où se sont réunis les 26 délégués communautaires, avec pour objectif de jeter les bases d’un nouveau départ. Lequel doit permettre, enfin, de travailler pour un territoire trop longtemps pris en otage de chicaneries politiques.
C’est donc une communauté de communes du Pays baraquevillois en ordre de marche qui a pris de nombreuses délibérations relatives à son fonctionnement: constitution des diverses commissions intercommunales, désignation des délégués au Pôle d’équilibre territoriaux et ruraux (PETR), au Scot, au Sieda…, conventions avec les collèges, tarification de divers services, etc.
La zone du Puech 2 relancée
Par ailleurs, cette réunion a permis de fixer les prix de vente des lots de la zone du Puech 2 dont la commercialisation, à l’arrêt depuis plusieurs années, est relancée. Les prix fixés se situent entre 15 et 35 hors taxes le mètre carré.
Enfin, l’assemblée a également évoqué le Schéma départemental de coopération intercommunale qui doit regrouper, au 1er janvier 2017, les communautés de communes du Pays baraquevillois et du Naucellois, ainsi que les communes de Calmont, Sainte-Juliette, voire Cassagnes-Bégonhès.
J'ai déjà un compte
Je me connecteSouhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?