« Rodez - Hier encore... » : les stations essence de l'avenue Victor-Hugo

  • « Rodez - Hier encore... » : les stations essence de l'avenue Victor-Hugo
    « Rodez - Hier encore... » : les stations essence de l'avenue Victor-Hugo reproduction Centre Presse
  • « Rodez - Hier encore... » : les stations essence de l'avenue Victor-Hugo
    « Rodez - Hier encore... » : les stations essence de l'avenue Victor-Hugo reproduction Centre Presse
Publié le , mis à jour
Jacques Boutet

Chronique. Un clin d’œil nostalgique, voilà ce que propose chaque samedi durant plusieurs semaines, Jacques Boutet qui nous entraîne dans le Rodez d’autrefois à travers des images d’époque commentées. Lesquelles, sans aucun doute, réveilleront bien des souvenirs, et qui témoignent à leur façon de l’évolution de la ville et des habitudes de ses habitants: il suffit de contempler ces endroits tels qu’ils sont aujourd’hui pour s’en convaincre.

Années 60… C’était encore le temps où trois distributeurs d’essence pouvaient cohabiter à quelques mètres de distance. À droite, les pompes à bras BP dont il fallait actionner un levier d’avant en arrière pour emplir deux ballons en verre qui se vidaient successivement par flots de 5 litres de carburant non sans avoir réglé manuellement la quantité sur un cadran situé au-dessous d’eux. De l’autre côté de la rue, le propriétaire s’était modernisé avec deux pompes automatiques ESSO.

Au centre de la scène, stationne une Peugeot modèle 203. Plus haut, à droite, la marquise de l’hôtel Broussy ressort avec ses parements rouges. La photo a été prise un après-midi de printemps encore frisquet au vu des manteaux revêtant les personnages. Aujourd’hui une autre génération d’arbres a remplacé ceux bordant déjà l’avenue. Sur la vue ci-dessous, on aperçoit, au premier plan à droite, la troisième station appartenant à «Ussou» Salles, actuellement occupée par une agence bancaire de la BNP.

À l’arrière-plan, la place d’Armes où l’on devine le monument aux morts symbolisé par la statue de la Victoire (1,3 tonne) s’efforçant de déployer ses ailes sans pouvoir se détacher de son socle de ciment. Exposée aux quatre vents, l’œuvre a été déplacée à l’entrée du jardin public du Foirail en octobre 2014.

Voir les commentaires
Sur le même sujet
L'immobilier à Rodez

450000 €

En exclusivité chez IMMO DE FRANCE, venez vite découvrir cet opportunité d'[...]

Toutes les annonces immobilières de Rodez
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?