Emmanuel Macron accueilli sous les sifflets par les salariés de Bosch

  • Emmanuel Macron accueilli sous les sifflets par les salariés de Bosch
    Emmanuel Macron accueilli sous les sifflets par les salariés de Bosch José A.Torres
  • A l'appel des syndicats Sud et CGT, les salariés de la Bosch ont réservé un comité d'accueil au ministre à l'occasion de la visite de l'usine.
    A l'appel des syndicats Sud et CGT, les salariés de la Bosch ont réservé un comité d'accueil au ministre à l'occasion de la visite de l'usine. José A.Torres
  • Emmanuel Macron accueilli sous les sifflets par les salariés de Bosch
    Emmanuel Macron accueilli sous les sifflets par les salariés de Bosch José A.Torres
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    Emmanuel Macron accueilli sous les sifflets par les salariés de Bosch José A.Torres
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    Emmanuel Macron accueilli sous les sifflets par les salariés de Bosch José A.Torres
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    Emmanuel Macron accueilli sous les sifflets par les salariés de Bosch José A.Torres
Publié le , mis à jour
Centre Presse Aveyron

A l'appel des syndicats Sud et CGT, les salariés de la Bosch ont réservé un comité d'accueil au ministre à l'occasion de la visite de l'usine.

Arrivé ce matin à Rodez, le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a tenu à rendre une visite aux dirigeants et salariés de la Bosch. Des salariés inquiets du devenir du diesel -les injecteurs common rail, dédiés à cette unique motorisation, sont le produit phare de l’entreprise-, pas suffisamment valorisé selon eux par le gouvernement. 

En grève dès de 14 heures, une petite centaine de salariés du plus gros employeur privé du département ont accueilli le ministre sous les sifflets. Avant d'échanger avec lui sur leurs inquiétudes. Un exercice auquel s'est prêté le ministre. "On peut ne pas partager les choses, y'a une forte hostilité au 49.3, la Loi Travail, de l'inquiétude sur le diesel. On en parle, on explique on donne aussi des garanties, de la visibilité, on avance. Mais ça se fait dans le respect" a commenté le ministre.

Après 10 minutes d"échange sur le parvis de l'usine, Emmanuel Macron  a ensuite participé à une nouvelle table ronde avec les dirigeants de l'entreprise labellisée « Usine du futur » en début d'année. Dirigé par Olivier Pasquesoone, le site castonétois a investi 57 millions d’euros en deux ans et demi pour s’adapter aux exigences des constructeurs d’automobiles, qui augmentent la pression d’injection du gazole pour diminuer la consommation des moteurs. L'usine castonétoise Bosch qui emploie aujourd'hui 1800 salariés élabore également un nouveau projet d’investissement pour fabriquer les nouveaux injecteurs à 2 000 bars.

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