Les attaches aveyronnaises de la judoka Sandrine Martinet-Aurières
Première athlète française médaillée d'or aux jeux paralympiques de Rio, la judoka Sandrine Martinet-Aurières n'est pas inconnue dans le département.
Première athlète française médaillée d'or aux jeux paralympiques de Rio, la judoka Sandrine Martinet-Aurières n'est pas inconnue dans le département de l'Aveyron. Auréolée du titre de championne du monde en 2006 à Brommat (!), la jeune femme vient aussi régulièrement à Saint-Santin, non loin de Decazeville, où vivent ses parents depuis une dizaine d'années.
«Un grand moment d’émotion ! »
Jean-Marie Aurières n’est toujours pas descendu de son nuage. Le père de Sandrine Martinet a suivi la finale à quelques mètres du tatami et il en a «pleuré de joie» quand sa fille a renversé l’Allemande Ramona Brussig, tenante du titre, pour décrocher l’or. Élu à la mairie de Saint-Santin, village aveyronnais dont il est natif et où il est donc adjoint de la maire Michèle Couderc, Jean-Marie Aurières, qui vit précisément dans le hameau de Saint-Julien-de-Piganiol, n’était pas l’unique membre de la famille à encourager la nouvelle championne paralympique.
Une partie de sa préparation en Aveyron
Sandrine Martinet a pu, en effet, compter sur le soutien de son fils Loïc (âgé de 6 ans), de sa mère Bernadette, née elle à Calvinet dans le Cantal voisin, de son frère, de sa belle-sœur et de ses deux nièces. Une délégation donc aux forts accents aveyronnais ! «Sandrine est très attachée à ce département et elle revient se ressourcer au pays dès qu’elle peut, se réjouit Jean-Marie Aurières. Sa médaille d’or a un petit goût de chez nous puisqu’elle a effectué une partie de sa préparation pour Rio en août en Aveyron».
J'ai déjà un compte
Je me connecteSouhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?