250 convives à table pour la première édition des Toqués d’Oc à Rodez

  • Les convives se sont réfugiés au restaurant le Kiosque pour déguster le sompteux repas. À l’origine, il était prévu dans les jardins du musée Soulages, mais la météo a contrarié le plan.  (José A.Torres / CPA)
    Les convives se sont réfugiés au restaurant le Kiosque pour déguster le sompteux repas. À l’origine, il était prévu dans les jardins du musée Soulages, mais la météo a contrarié le plan. (José A.Torres / CPA)
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Centre Presse

C’est une première. Et ce fut une réussite. La première édition des Toqués d’Oc, en Aveyron, a séduit 250 convives. L’événement aurait pu accueillir encore plus de gourmets, au restaurant le Kiosque, car les demandes ont afflué jusqu’à la dernière minute.

« C’est une capacité maximum que nous n’avons pas souhaité dépasser pour que les chefs cuisiniers puissent proposer un repas de qualité », expliquent les organisateurs que sont Centre Presse et le groupe la Dépêche du Midi. Nicolas Geniez (restaurant l’Agriculture à Baraqueville), Michel Santos (le Kiosque à Rodez), François Arnaud (traiteur à Rodez), Benjamin Bergès (le Coq de la place à Rodez), Cédric Gaston (l’auberge de l’Ady à Valady) et Clément Battut (Pâtisserie Clément, à Rodez), les six chefs cuisiniers qui ont concocté ce premier repas pour les Toqués d’Oc, ont offert plus qu’un repas de qualité : un véritable feu d’artifice pour les papilles.

Émietté de joue de bœuf (d’Aubrac) et sa truite (de Salles-la-Source), poêlée de ris d’agneau (Ségalas) et son croustillant de truffade, longe de veau (d’Aveyron) sur son lit de lentilles (de Sainte-Radegonde), verrine de myrtilles sauvages...les toqués d’Aveyron se sont autant fait plaisirs à imaginer les mets que les convives ont eu plaisir à les déguster.

Le repas a été arrosé d’un verre de vin blanc et rouge (Domaine Mousset, appellation Entraygues Le Fel et Domaine de l’Albinie, appellation Marcillac). « Les deux vins viennent d’avoir des récompenses au dernier guide Hachette », explique fièrement Alain Falguières.

Les restaurateurs, autant que les producteurs ont su donc mettre en avant les produits locaux, relevés d’une pincée de savoir-faire prometteuse. « Lorsqu’on a eu la chance de travailler ensemble, entre cuisiniers, on s’enrichit des expériences des uns des autres », explique Cédric Gaston qui a travaillé main dans la main avec Benjamin Bergès pour la longe de veau.

Les inscriptions étaient ouvertes depuis plusieurs semaines. Pour 30€ par personne, un menu complet (de l’apéritif au dessert, en passant par le vin et le fromage) était concocté par six chefs aveyronnais de renom.

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