L’unité autour de la future locomotive Soulages

  • L’EPCC devrait contribuer à doper davantage la notoriété du musée Soulages.
    L’EPCC devrait contribuer à doper davantage la notoriété du musée Soulages.
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Centre Presse / Rachid Benarab

L’union fait la force. L’adage résume à lui seul l’action qui vient d’être engagée par l’État et les collectivités territoriales (Région, Département et Agglo) pour booster, davantage, le rayonnement, la notoriété et l’attractivité du musée Soulages, à travers la création, d’ici la fin de l’année, d’un Établissement public de coopération culturelle (EPPC).

Ce dispositif lancé par l’État en 2006 permet aux établissements culturels de maintenir leurs missions en partageant avec eux le financement de leur fonctionnement. Un fonctionnement qui se révèle souvent très coûteux, surtout lorsqu’il est supporté par une seule collectivité, à l’image de Rodez Agglomération avec le musée Soulages.

Très concrètement, dans le cadre de ce dispositif, le financement est partagé entre la Région, le Département, l’Agglomération et l’État, selon un pourcentage que les différents financeurs établissent entre eux.

Mais il peut aussi ouvrir la voie à des investisseurs privés, ce qui ne sera pas le cas pour l’EPCC du musée Soulages. Un musée dont l’affluence n’a cessé d’augmenter depuis son ouverture au public en mai 2014. Porté par la richesse des collections et le succès des expositions temporaires, le musée Soulages a attiré 250 000 visiteurs l’an dernier.

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