La fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen

  • À Paris Sport et convivialité pour la fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen
    À Paris Sport et convivialité pour la fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen
  • À Paris Sport et convivialité pour la fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen
    À Paris Sport et convivialité pour la fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen
  • À Paris Sport et convivialité pour la fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen À Paris Sport et convivialité pour la fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen
    À Paris Sport et convivialité pour la fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen
  • À Paris Sport et convivialité pour la fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen
    À Paris Sport et convivialité pour la fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis au stade Suzanne Lenglen
Publié le
Jdm

Le temps chaud et lourd n’aura pas suffi à décourager les participants : plus de 250 personnes ont rallié, ce samedi, le stade Suzanne Lenglen, dans le XVème arrondissement parisien, pour la quatrième " Fête du sport des Aveyronnais de Paris et leurs amis ". À l’image de Christophe, dont le père est originaire de Laguiole et la mère d’Aurillac, 150 footballeurs ont ainsi chaussé leurs crampons. " Au-delà du sport, cette journée est l’occasion de revoir des copains de 15 ans ", se réjouit-il. Pendant que l’ASCAP, l’Association sportive des cafés aveyronnais, s’échauffe, Jérôme, originaire de Baraqueville et Parisien depuis 25 ans, se contente d’observer, appuyé sur la barrière. " J’ai joué 13 ans avec l’ASCAP, et lors de la première édition de cette Fête du sport, je me suis rompu le tendon d’Achille. Depuis, c’est mon fils de 16 ans qui me remplace sur le terrain. Mais je tiens à venir pour l’ambiance et les copains ", confie ce grossiste en fruits et légumes qui fournit les brasseries aveyronnaises de la capitale.

Sur le terrain d’à côté, un trio de jeunes filles encourage les footballeurs. Deux d’entre elles, Maristine et Violaine, sont venues spécialement de Le Nayrac pour supporter leur frère, qui défend les couleurs de l’Atletico Bistro. Quand l’équipe est éliminée, la rancœur n’est pas de mise : " On sera gagnants à l’apéro ! ", plaisante Jean-Matthieu, un restaurateur né à Lacroix-Barrez. De l’autre côté du stade, les jeunes rugbymen de l’USO Massif Central et du RC Paris XV ne lâchent rien. La chaleur devenue écrasante en milieu d’après-midi jette les joueurs sur les quartiers d’orange et les bouteilles d’eau minérale mis à leur disposition. Affalés sur la pelouse autour du terrain, les ados plaisantent, sous l’œil attentif de Michel Bessière, grand organisateur de l’événement. S’il est pleinement satisfait de cette édition 2018, l’homme mûrit déjà une idée pour l’an prochain : " J’aimerais intégrer les quilles de 8, discipline majeure de la culture aveyronnaise. Le problème, c’est de trouver dans Paris un terrain qui s’y prête ".

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?