Le commissaire interministériel accueilli ce mardi matin par les représentants de la CGT
Un rapide échange s'est déroulé entre le représentant du gouvernement et les syndicalistes, ce mardi matin, devant l'usine d'Onet-le-Château.
Comme prévu, le commissaire interministériel à la réindustrialisation Jean-Pierre Floris est arrivé en milieu de matinée sur le site de l’usine Bosch, en compagnie de la préfète de l’Aveyron, Catherine de La Robertie, où il a été accueilli par des représentants de la CGT, syndicat non-signataire de l’accord de transition, et qui a décidé d’organiser, symboliquement, un barbecue de transition devant l’usine.
Lors d’un rapide échange devant les journalistes, les délégués CGT lui ont rappelé qu’il s’agit d’un accord « sans réelles contreparties de Bosch. »
« Tout reste hypothétique et on ne peut pas engager les droits des salariés face à des hypothèses, n’a pas manqué de souligner, Yannick Anglarès. En 2007 et 2013, la CGT a su signer des accords de compétitivité, car il y avait des engagements sur l’emploi et l’outil de travail. »
Et le secrétaire départemental de la CGT,David Gistau, de faire part de sa vision différente de celle du gouvernement, qui « n’a pas de ministère de l’Industrie, juste un commissaire aux restructurations d’entreprises. »
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