Rodez. Centenaire de la guerre 14-18 : La mémoire "encore vive"

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    La mémoire "encore vive" Photos JAT
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Publié le
Philippe Henry

Des textes, des images, parfois de lointains souvenirs d’aïeuls tombés sur des champs de bataille, en France et ailleurs. À l’image d’autres établissements dans le département, le collège Fabre, à Rodez, s’est penché sur les archives, 100 ans après, de ce conflit qui a bouleversé des générations entières, modifié pour des décennies le visage de l’Europe du début du XXe siècle.

Aujourd’hui encore, on mesure toujours les conséquences de la Grande Guerre. Les collégiens de Fabre rencontrés quelques jours avant les commémorations du 11-Novembre, ont été les premiers surpris de découvrir l’ampleur de ce conflit. La violence des combats, les amputations, les blessures de guerre, etc. Une mémoire ravivée grâce au travail des élèves et de leurs professeurs. Par exemple, Céleste, en classe de 4e, a décroché une photo de famille. Son grand-père, en uniforme, a pris la pose comme des milliers d’autres soldats à cette époque. Une petite histoire qui raconte la grande.

Pour Christophe Féral, professeur d’histoire-géographie au collège Fabre, ce travail autour de documents de la Grande Guerre a permis, non seulement "d’étudier une période fondamentale de notre histoire de façon ludique, mais également de mettre des mots sur une mémoire qui est encore vive". Au travers de dizaines de documents d’archives, élèves et professeurs ont ainsi travaillé à raviver la mémoire de la Grande Guerre. Aujourd’hui, au pied de la statue de la Victoire, les élèves vivront "un moment particulier", chargé d’émotions, aux côtés d’anciens combattants, des officiels, lorsque la Marseillaise va retentir lors de l’hommage national rendu à l’occasion du 100e anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918. "Ce sera la conclusion de tout le travail que nous avons fait", glisse timidement Garance, élève de 4e. Une conclusion qui n’en est pas une pour la plupart d’entre-eux.

Le souvenir de ces soldats, de nos ancêtres, ravivé, par le travail de leurs descendants, un siècle après résonne d’une manière particulière en cette journée de commémoration.

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