Les chefs des Toqués d'Oc viennent en aide à deux associations
"Dans les pas de Léa" et l'association "Tom" ont reçu chacune 350 euros, récoltés lors de la soirée des Toqués d'Oc, pour les soutenir dans l'aide qu'elles apportent à trois enfants handicapés.
Six chefs, 380 convives... et deux nobles causes ! Dans le cadre de la deuxième édition des Toqués d'Oc, qui se tenait le week-end des 13 et 14 octobre à la chapelle Saint-Joseph, les chefs avaient décidé de collecter des fonds pour aider les associations "Tom" et "Dans les pas de Léa", dont les enfants fréquentent par ailleurs l'ensemble scolaire Saint-Joseph.
"Nous, on est tous parents, explique Michel Santos, chef du restaurant Le Kiosque à Rodez. Cela nous tenait à coeur d'associer ces enfants à la démarche". Entouré de ses collègues, il a procédé dans les locaux de la Chambre de métiers à la remise des chèques, d'un montant de 350 euros chacun. L'organisation des Toqués 2018 ayant été assurée par Centre Presse, son directeur Serge Gélis participait à la cérémonie
"J'ai envie de leur dire bravo, mais aussi un grand merci", a déclaré en marge de la cérémonie de remise, à la Chambre de métiers et de l'artisanat, Nicolas Pistre. Président de l'association "Dans les pas de Léa", il se réjouit de ce don qui l'aidera, selon la vocation de son association, à payer les soins nécessaires à sa fille, prodigués en Belgique, aux Etats-Unis ou en Pologne. "Elle était vouée à rester dans un fauteuil toute sa vie, mais aujourd'hui elle marche avec des cannes", a souligné Nicolas Pistre. Une aide bienvenue d'autant que l'association a dernièrement pris sous aile une autre petite aveyronnaise en la personne de Salomé.
Même reconnaissance du côté de l'association "Tom", représentée par son vice-président Olivier Do Bento et sa secrétaire Pierrette Rebouys. La somme servira à continuer de rendre moins pénible de quotidien de Tom, alors que l'association a déjà permis, comme le souligne Pierrette Rebouys, "de réaliser une salle de bain adaptée, des toilettes ou encore d'acheter un monte-escalier". "On essaye qu'il vive normalement", conclut Olivier Do Bento.
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