ASPTT Rodez : Jocelyne Costes montre l’exemple sur le terrain et en dehors
Du collège au lycée, Jocelyne Costes a toujours pratiqué une activité sportive (basket et athlétisme), en plus des cours d’éducation physique et sportive. Si elle a mis le sport entre parenthèses quand elle a intégré le monde du travail à Paris, elle a replongé à son retour dans l’Aveyron quand ses filles ont voulu pratiquer le basket. Elle s’est ainsi remise à jouer dans le même club qu’elles. En parallèle, elle est devenue également marqueur-chronométreur officiel et arbitre à l’occasion pour dépanner. Et même entraîneur mais, selon ses propres termes, "entraîner, c’est un métier et je ne pouvais pas m’y consacrer suffisamment ".
La vie a fait qu’elle a quitté ce club et qu’elle a choisi d’habiter à Rodez. Ayant fait sa carrière professionnelle aux télécoms (PTT, France Telecom, et maintenant Orange), c’est "tout naturellement" qu’elle s’est inscrite à l’ASPTT Rodez il y a environ huit ans, "cherchant une activité sportive me correspondant le mieux ". Et l’intéressée de préciser : "J’ai choisi la gymnastique d’entretien dans un premier temps et, lorsque l’activité stretching s’est ouverte au club, je m’y suis inscrite également".
Quelques années plus tard, le président Bernard Verdier lui a demandé si elle voulait prendre la responsabilité de la section gym-stretching. De fil en aiguille, Jocelyne Costes a rejoint le conseil d’administration, puis le bureau de l’omnisport. Elle s’est impliquée dans la gestion courante et la prospective d’un club de sport, l’organisation des portes ouvertes, du vide-greniers, de la tombola. "Les décisions sont nombreuses à prendre quand on a la gestion des installations, avec les difficultés du quotidien (contacts avec les artisans, mise en place de la domotique pour le chauffage, entretien des installations, arbitrages budgétaires et stratégiques), explique-t-elle. Toutes ces activités demandent du temps et de l’implication ".
Bientôt à la retraite, Jocelyne Costes aura (encore) un peu plus de temps à consacrer à l’ASPTT. "Ce temps ne sera pas de trop pour maintenir l’existant et préparer l’avenir", conclut-elle.
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