Najac. L’Oustal del Barry lance (déjà) sa saison

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  • Le chef Rémy Simon est dans les starting-blocks.
    Le chef Rémy Simon est dans les starting-blocks.
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Correspondant

Pour le chef de l’Oustal del Barry, Rémy Simon, depuis la fin de la saison, il n’y aura pas eu le moindre temps mort. D’autant qu’avec son second de cuisine, Gauthier Vergnes, il est déjà à pied d’œuvre pour peaufiner les premiers rendez-vous se précipitant sur l’agenda. La réouverture frappera à la porte dans deux semaines pile, "pour la Saint-Valentin", sourit le maître des lieux. Pour l’occasion, à savoir samedi 16 et dimanche 17 février, il a mitonné un menu des plus alléchant avec une association, mets et vins pour 48 €, de quoi faire se lécher les babines des gourmets du pays. Après cette mise en bouche, avec la complicité de Claude Izard, des Cuisineries, il sera vite dans le grand bain car le 25 février, rendez-vous sera donné à un menu spécial truffes. De quoi aussi embrayer sans sourciller sur l’ouverture de la maison. "Le restaurant sera ouvert tous les week-ends dès le début du mois de mars les vendredis, samedis et dimanches à midi." Quant à l’hôtel, ce sera un brin avant le Salon du goût, tout début avril, à l’occasion du Congrès national des maires ruraux. Pour cette année 2019, Rémy Simon entend bien aller de l’avant en priorité. "Tous les mois, nous changerons de carte avec la déclinaison d’un menu à thème en soirée", détaille-t-il.

Comme il l’a déjà fait par le passé, mais en l’accentuant beaucoup plus pour cette saison, le chef entend mettre plus encore en avant les producteurs travaillant avec lui. "On le fera via notre page Facebook mais aussi dans nos menus, en soulignant comment nous travaillons et avec qui nous travaillons." Un volet proximité qu’il défend comme une courroie de transmission pour l’avenir. Dans cette optique, outre le "petit" menu de midi, qui lors des précédentes saisons a largement fait ses preuves auprès de sa clientèle, 2019 se placera sous le signe des coups de cœur qui se déclineront "à l’ardoise" ou "au marché". Sans oublier la mise en avant du jardin du restaurant jouxtant celui-ci et que Rémy entend bien valoriser encore plus. Avec un clin d’œil au circuit hypercourt du potager à l’assiette.

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