Le deuxième salon du tatouage de Decazeville attire un nombreux public d'amateurs et de curieux
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Une création à six mains.
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Ambiance décontractée.
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Entre filles...
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Le vrai ou le faux ?
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Même pas mal !
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Attention fragile !
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De belles pin-up.
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Ça peut aussi faire mal !
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Sympa la Caravin
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A chacun son style
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J'hésite encore
Pour un deuxième coup d’essai, c’est un coup de maître. Il y avait foule, hier, autour et dans les immenses halls du Laminoir, à Decazeville, où se tient, jusqu’à ce dimanche soir, la deuxième session du salon du tatouage. Cette deuxième édition réunit 115 tatoueurs, dont certains venus de Russie, du Brésil, d’Espagne, du Portugal, de Polynésie, de Thaïlande. Autant dire que ça pique et qu’il y en a pour tous les goûts.
De nombreux marchands de vêtements et autres accessoires sont également de la fête, en compagnie de belles pin-up et du sosie, presque plus vrai que nature, de Jack Sparrow. Une quarantaine de trucks, des motos et des voitures customisées, des musiciens de rock et plusieurs autres animations complètent ce tableau particulièrement coloré et festif.
Capitale aveyronnaise du tatouage
Ce beau succès populaire a de quoi ravir Dam’s, l’organisateur de cet événement avec sa femme Mimiss Tartouille, qui présente le salon, et dont le portable ne cesse pas de sonner. "Mon but c’était vraiment de faire de Decazeville la capitale du tatouage en Aveyron. On est pas trop mal. On a bien bossé depuis l’an dernier sur la promotion, la mairie joue le jeu et ça porte ses fruits", explique le pierceur, qui tient boutique à Decazeville et Figeac. "Pour le tatouage, on ne parle plus d’effet de mode, c’est même trop. Avec ça, ce n’est pas un acte anodin.C’est un acte réfléchit et indélébile avec des règles à respecter. Une formation d’hygiène est d’ailleurs obligatoire pour chaque tatoueur. Le salon permet aux gens de découvrir tout ça."
Simples curieux ou véritables amateurs de tatouages, jeunes mais aussi moins jeunes, chacun y trouve son compte. Avec, ce qui ne gâche rien, une note de solidarité au profit d’un petit Decazevillois de 6 ans, scolarisé à l’école Jean-Macé, privé de l’usage de ses jambes.
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