Marc Fesneau dans le Naucellois : le soutien de l'Etat aux territoires

  • Le ministre auprès du Premier ministre, Marc Fesneau.
    Le ministre auprès du Premier ministre, Marc Fesneau. J.B.
  • Le président des producteurs, Fabien Pezet, a longuement conversé avec le ministre.
    Le président des producteurs, Fabien Pezet, a longuement conversé avec le ministre. J.B.
  • Le ministre a poursuivi sa visite à la Maison des services au public de Naucelle.
    Le ministre a poursuivi sa visite à la Maison des services au public de Naucelle. J.B.
  • L'espace de Terre Ségala regroupe 43 producteurs locaux.
    L'espace de Terre Ségala regroupe 43 producteurs locaux. J.B.
Publié le , mis à jour
J.BORN

Le ministre chargé des Relations avec le Parlement était reçu, ce matin, à Naucelle. Il a découvert l'espace Terre Ségala et la Maison des services au public, sous la conduite de la députée Anne Blanc.

Un ministre chasse l'autre en Aveyron. Après la secrétaire d'Etat aux Armées, Geneviève Darrieussecq, la secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie et des Finances, Agnès Pannier-Runacher, le département accueille, ce jeudi, un troisième représentant du gouvernement en la personne de Marc Fesneau, ministre chargé des relations avec le Parlement.

Accueilli notamment par la députée de l'Ouest Aveyron, Anne Blanc, l'élu du Loir-et-Cher se trouvait ce matin, à Naucelle, où il a visité l'espace Terre Ségala ainsi que la Maison des services au public. L'occasion pour l'ancien président du groupe Modem à l'Assemblée Nationale de porter la bonne parole de l'Etat et de redire son soutien aux territoires, notamment les plus ruraux, et à ceux qui les font vivre.

"Un territoire qui perd un médecin perd plus qu'un médecin, a-t-il notamment souligné. Il y a une responsabilité de l'Etat et des collectivités. Et c'est le partenariat Etat collectivités qui permettra de régler les problèmes. Il faut transformer les services publics et non pas les supprimer... Le poids de la transition écologique est aussi plus fort ici que dans les villes... Il faut redonner un destin à chaque territoire, mais vous ne retricotez pas en un an, ce que vous avez détricoté pendant plus de trente ans."

A lire dans notre édition Centre Presse Aveyron de ce vendredi 1er mars. 

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