Villefranche-de-Rouergue. Comment la ville aurait pu être

  • Le groupe au départ sur le pont des Consuls avec en fond le théâtre, premier bâtiment évoqué dans la visite guidée par Annie Rougier.
    Le groupe au départ sur le pont des Consuls avec en fond le théâtre, premier bâtiment évoqué dans la visite guidée par Annie Rougier.
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GDM

C’est reparti pour les visites guidées organisées par les animateurs du patrimoine du Pays d’art et d’histoire des bastides du Rouergue. La première s’est déroulée samedi matin, guidée par Annie Rougier. L’intitulé de son thème interpellait : "Repentirs architecturaux". De quoi pouvait-il bien s’agir ?

"Un projet architectural connaît plusieurs étapes et parfois certaines hésitations. Des dessins sont ainsi restés sur le papier et n’ont jamais connu de concrétisation. Des projets ont été modifiés. Il y a eu aussi des hésitations quant à l’emplacement, l’architecte ou le style,", explique Annie Rougier.Samedi matin, le groupe est parti à la découverte de ce que Villefranche aurait pu être si les choix avaient été différents. Par exemple, pour le théâtre, le bâtiment des bains-douches, la collégiale ou encore le monument aux morts de la place Jean-Jaurès qui n’a été érigé qu’en 1925, soit six ans après la fin du conflit.

Les prochaines visites guidées à Villefranche vont porter sur l’ancien tribunal, puis le mémorial de la révolte des Croates. Il en est de prévues aussi à Najac, (église Saint-Jean), Villeneuve (décor peint qui orne l’une des absides de l’église romane), Boussac, Rieupeyroux et La Bastide-l’Évêque (château de Réquista).

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