Rignac. Découvrir le Parc naturel régional de l’Aubrac avec Rencontres Citoyennes

  • André Valadier, avec sa dynamiqueet son amour pour l’Aubrac fera comprendre la nécessité de l’existence de ce Parc naturel régional.
    André Valadier, avec sa dynamiqueet son amour pour l’Aubrac fera comprendre la nécessité de l’existence de ce Parc naturel régional.
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CORRESPONDANT

Pour poursuivre son cycle de conférences, Rencontres Citoyennes vous invite à découvrir et à mieux connaître le Parc Naturel Régional de l’Aubrac, à travers la prochaine soirée débat jeudi 14 mars à 20 h 30 à l’espace André-Jarlan.

C’est André Valadier, président de ce Parc naturel régional qui viendra animer cette conférence et parler de cette région chère à son cœur.

Un territoire de 2 282 km2

Le Parc naturel régional de l’Aubrac créé par décret le 23 mai 2018, constitue un territoire dont le périmètre occupe 2 282 km2 répartis sur soixante-quatre communes des trois départements de l’Aveyron, du Cantal et de la Lozère, autour du plateau du même nom.

L’Aubrac, massif de moyenne montagne, éloigné des centres de décisions, est un pays de hautes terres, marqué en son cœur par le témoignage d’activités volcaniques à l’origine de vastes plateaux que les hommes ont su apprivoiser pour créer un "pays d’herbe" qui constitue aujourd’hui le socle de l’économie et le support d’une exceptionnelle biodiversité.

Les missions du Parc

Pour préserver et valoriser les richesses de ce territoire d’exception que sont l’élevage, l’agroalimentaire, la coutellerie et autres, les collectivités départementales et régionales, l’État et les socioprofessionnels ont entrepris de créer un Parc naturel régional en Aubrac. Ce n’est pas une réserve naturelle, il y a des gens qui vivent et travaillent dans ce Parc naturel régional. Ses missions définies par l’État sont déterminées à travers la charte rédigée par les acteurs locaux : le développement économique et social ; l’aménagement du territoire alliant qualité de vie et respect de l’environnement ; la protection et la gestion du patrimoine naturel, culturel et paysager ; l’accueil, l’information et l’éducation au patrimoine et à l’environnement ; l’innovation, l’expérimentation et la coopération.

Cette démarche collective doit permettre à ces hautes terres de rester nourricières, attractives et généreuses.

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