Plateau de choix à Marcillac

  • Jean-Michel Da-Cunha (208 R5) avait arraché la victoire  à Jean-Laurent Chivaydel (Ford Fiesta R5) lors de l’ultime spéciale, l’an passé à Marcillac.
    Jean-Michel Da-Cunha (208 R5) avait arraché la victoire à Jean-Laurent Chivaydel (Ford Fiesta R5) lors de l’ultime spéciale, l’an passé à Marcillac. Archives : Jean-Louis Bories
Publié le
Centre Presse Aveyron

Sur un parcours quelque peu remanié, ce sont 136 équiages - un record pour l’épreuve - qui s’affrontent  samedi et dimanche  autour de Marcillac
 

Côté parcours

Pour cette 21e édition du rallye du Vallon de Marcillac, les organisateurs ont apporté quelques modifications au parcours qui n’avait pas changé depuis 2017, année de l’accession au rang de rallye national. Demain, la spéciale de Goutrens se voit légèrement modifiée alors que le dimanche la longue spéciale de Mouret se voit amputée de trois km afin de dynamiser la course.
Le samedi, les spéciales de Nauviale-Léguens et Goutrens - Clairvaux sont à parcourir deux fois et le dimanche celles de Noailhac et Pruines-Pont de Mouret trois fois.

Côté concurrents

Avec 138 engagés, dont 6 en catégorie R5 et une S2000, c’est un plateau de choix que propose le cru 2019 du rallye du Vallon de Marcillac. Si le Bozoulais Jean-Michel Da Cunha (DS3 R5), vainqueur pour la neuvième fois en 2018, tentera la passe de dix, il aura fort à faire car la concurrence sera épaisse. À commencer par le Lotois Mickaël Lobry vainqueur ici même en 2015 et qui prendra le départ avec une Ford Fiesta R5. Les Marcillacois Christophe et Jérôme Sichi, premiers vainqueurs de l’épreuve en 1999, mais également à six reprises sur le podium, seront aussi de sérieux prétendants avec leur Peugeot 208 R5. Autre Aveyronnais, Jean-Laurent Chivaydel, deuxième l’an passé après avoir perdu le leadership dans la dernière spéciale, aura certainement soif de revanche avec sa Ford Fiesta R5.

Da Cunha et une horde

Quant au Corse Thomas Argenti, (Skoda R5) troisième l’an passé, s’il revient en Aveyron, ce n’est certainement pas pour faire de la figuration. Autre prétendant aux places d’honneur, l’Audois Thierry Beuron sur Skoda Fabia R5. Tout comme Alexis Sirmain, le pilote du Vallon avec sa Peugeot 106 qui tentera le Top 5 et le Ruthénois Laurent Binois, Renault Clio R3, qui avait terminé cinquième en 2018. Difficile de citer tous les prétendants au Top 10 tant ils sont nombreux.
Mais le Marcillac, comme on l’appelle couramment, ce n’est pas uniquement la course au podium et aux places d’honneur. C’est également les bagarres pour le gain des classes et groupes. Le Marcillac-2019 s’annonce ainsi comme un grand cru et confirme pour la troisième année consécutive sa place dans le club restreint des épreuves nationales de coefficient quatre. Il n’y a plus qu’à lâcher les chevaux.

Programme du week-end

Samedi
10 h 30 sortie parc de départ Marcillac, 11 h 16 ES1 Leguens (6,900 km), 12 h 04 ES2 Goutrens-Clairvaux (16,500 km), 14 h 55 ES3 Leguens, 15 h 43 ES4 Goutrens-Clairvaux (16,500 km), 17 h 43 entrée parc fermé à Marcillac.

Dimanche
7 h 30 sortie parc de départ Marcillac, 8 h 14, ES5 Noailhac (10,700 km), 8 h 49, ES6 Pruines - Pont de Mouret (22 km), 11 h 28 ES7 Noailhac, 12 h 03, ES8 Pruines - Pont de Mouret, 14 h 42, ES9 Noailhac, 15 h 17, ES10 Pruines - Pont de Mouret

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