Quand accordéon rime avec Aveyron (4/7) : Sylvie Pullès, la reine d'Auvergne
Quatrième volet de notre série consacrée à quelques accordéonistes aveyronnais de renom, où l'emblématique Sylvie Pullès a bien évidemment toute sa place.
« La reine du folklore auvergnat ». C’est en lettres majuscules, avec les célèbres ampoules rouges, que Sylvie Pullès s’est soudain éclairée sur la façade de l’Olympia à Paris. Son premier passage dans la mythique salle parisienne, 28 boulevard des Capucines (9e arrondissement) remonte au 8 mai 2010 pour fêter un quart de siècle de carrière. Elle est remontée sur cette scène chère à Bruno Coquatrix cinq ans plus tard, le 30 mai. En ce qui concerne les accordéonistes, seul André Verchuren a fait aussi bien qu’elle. En 1956 puis en 2003. Née
le 8 juin 1972, d’un père cantalien et d’une mère aveyronnaise, installée depuis longtemps à Saint-Côme-d’Olt, Sylvie Pullès est « La reine d’Auvergne ».
Si ses notes font chavirer les danseurs, ses chiffres font tourner les têtes. Morceaux choisis : 5 000 bals en France et à l’étranger, 2 millions de kilomètres, autant de danseurs.
Ayant débuté par l’harmonica, passionnée par la musique traditionnelle et folklorique, elle a accompagné son père René dans des bals à l’âge de 12 ans et elle a monté son propre orchestre quatre années plus tard.
Elle sera sur la scène de l’Alhambra (10e arrondissement de Paris) samedi 25 mai. L’Aveyronnaise y partagera la vedette avec Didier Barbelivien et Linda de Suza.
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