Quand l’Aveyron s’illustre au box-office
Tour d’horizon des principaux longs-métrages tournés en Aveyron.
Silence ça tourne ! Avec ses paysages remarquables, l’Aveyron inspire régulièrement les réalisateurs. Depuis Georges Rouquier et sa fresque de la vie paysanne, Farrebique, tournée à Goutrens en 1946, et Biquefarre en 1983, le département a régulièrement servi de toile de fond aux intrigues françaises. Des chemins de Saint-Jacques dans Cartouche (1962) de Philippe de Broca avec Belmondo et Claudia Cardinale (!), au chaos de Montpellier-le-Vieux pour une des scènes de La Grande Vadrouille (1966). Des rues de Decazeville pour Heroïnes de Gérard Krawczyk (2003) au château de Bourines pour Fanfan la Tulipe, de ce même Gérard Krawczyk, avec Pénélope Cruz et Vincent Perez. Du château de Bourines, encore, avec Jacques Dutronc et Michel Serrault dans Malevil de Christian de Chalonge (1981) aux paysages de l’Aubrac pour La Princesse de Montpensier (2010) de Bertrand Tavernier, l’Aveyron s’illustre souvent au box-office. Pour être exhaustif, parlons aussi du film de Coline Serreau Saint-Jacques… La Mecque, de Rester Vertical du local de l’étape Alain Guiraudie, de Bleu comme l’enfer avec Lambert Wilson et Tchéky Karyo, de la fresque animalière Microcosmos, le peuple de l’herbe, d’Ici Najac à vous la terre, de Jean-Henry Meunier ou plus récemment de l’adaptation du célèbre roman d’Hector Malot, Rémi sans famille. Même Mr Bean, dans son road-trip clownesque au volant de sa fameuse Austin mini fait un crochet par le Viaduc de Millau. L’Aveyron et le cinéma : une histoire qui roule !
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