Decazeville : quand la ville devient un musée à ciel ouvert

  • La superbe fresque de KinMX.
    La superbe fresque de KinMX. J.B.
  • La première réalisation d’Eljin, façade immeuble des sociétés (face au jardin public)
    La première réalisation d’Eljin, façade immeuble des sociétés (face au jardin public) J.B.
  • La deuxième oeuvre d’Eljin, même immeuble
    La deuxième oeuvre d’Eljin, même immeuble J.B.
  • La production de l’artiste Al, en collaboration avec les lycéens decazevillois.
    La production de l’artiste Al, en collaboration avec les lycéens decazevillois. J.B.
  • Le gorille de Jo Di Bona, avenue Paul Ramadier, à Fontvergnes.
    Le gorille de Jo Di Bona, avenue Paul Ramadier, à Fontvergnes. J.B.
  • Les petits oiseaux colorés de Bishop Parigo, à la Capirole.
    Les petits oiseaux colorés de Bishop Parigo, à la Capirole. J.B.
  • L’oeuvre de Sifat, imprégnée de calligraphie, sur le mur de soutènement de l’ancienne EDF à Fontvergnes.
    L’oeuvre de Sifat, imprégnée de calligraphie, sur le mur de soutènement de l’ancienne EDF à Fontvergnes. J.B.
  • Le graphisme original de Stéphane Opéra, près de l’école Jean Macé, avenue Jean Moulin.
    Le graphisme original de Stéphane Opéra, près de l’école Jean Macé, avenue Jean Moulin. J.B.
  • L’oeuvre d’Alber aux courbes précises est visible sur le bâtiment des ateliers municipaux, à Trépalou. L’oeuvre d’Alber aux courbes précises est visible sur le bâtiment des ateliers municipaux, à Trépalou.
    L’oeuvre d’Alber aux courbes précises est visible sur le bâtiment des ateliers municipaux, à Trépalou. J.B.
  • La production de Kouka, maître de l’art africain, sur la zone du Centre. La production de Kouka, maître de l’art africain, sur la zone du Centre.
    La production de Kouka, maître de l’art africain, sur la zone du Centre. J.B.
Publié le
Centre Presse Aveyron

Équipés de leurs pinceaux, rouleaux et autres aérosols de peinture, les huit artistes de la première session du festival "Mur Murs" ont embelli la ville. Il faut y ajouter Al qui avec les lycéens decazevillois de la section chaudronnerie a réalisé une œuvre symbolique face au chevalement de Lacaze. Beaucoup de Decazevillois et d’Aveyronnais (c’est une première dans notre département) ont découvert le street art, une expression artistique originale.

Pour la grande majorité d’entre eux, ce fut une surprise et un enchantement. Car ce sont bien des artistes à part entière, doués et au pouvoir de création infini, spectaculaire.

Nous présentons quelques-unes de premières productions (Eljin en a réalisé deux sur l’immeuble des Sociétés, face au jardin public) avec leur style différent. Douze autres sont à venir lors de la deuxième session qui se tiendra du 22 au 30 juin. Ce festival représente un budget de 260 000 € ; un coût très maîtrisé, sachant que la communauté des communes ne déboursera au final que 60 000 € sur cette somme globale. Nous en reparlerons bientôt.

Une fois réalisé, ce parcours d’art mural proposera à Decazeville un nouveau visage et offrira une dimension touristique élargie. Sans renier son passé, glorieux puis malheureux, notre territoire revendique désormais une modernité assumée. Et ce n’est pas terminé…

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