Rodez. Le Petit Futé Aveyron (et Aveyron à Paris) livre bons plans et expériences à partager

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Tristan Cuche et Corinne Delattre Chavanon, représentant la fédération des Aveyronnais d’ici et d’ailleurs, sont très heureux de présenter le nouveau guide. RDS

L'Aveyronnais, Société, Aveyron

Publié le 15/09/2019 à 20:12

Rui Dos Santos

Le guide 2019-2020 est sorti : publié à 16 000 exemplaires, et fort de bonnes adresses (restaurants, brasseries, bars mais aussi des hôtels, ainsi qu’une vingtaine de clins d’œil). édité, lui, à 50 000 exemplaires, un tiré à part recensant exclusivement des lieux où manger, boire et dormir dans la capitale sera lancé à bercy, au cours du marché organisé par la fédération des Aveyronnais d’ici et d’ailleurs, début octobre.

Le premier numéro est sorti en 1998 et il paraît depuis tous les ans. Gardois installé à Montpellier, Tistan Cuche a commencé à s’en occuper en 1999 et c’est à Rodez, sur la terrasse ombragée de L’Influent (un hasard ?) qu’il a présenté l’édition 2019-2020 du Petit Futé Aveyron. "Je suis dédié au Petit Futé. C’est ma vie !, a servi l’intéressé, pour confirmer "l’attachement viscéral" qu’il a pour ce guide. Si 50 % des publications valorisent des destinations étrangères, si les grandes villes françaises ont longtemps été ciblées, force est de reconnaître que, aujourd’hui, les ouvrages sur les départements ont le vent en poupe. Et l’Aveyron fait partie des références".

Tiré à 16 000 exemplaires (314 pages, 9,95€), il s’adresse "certes aux touristes mais également aux Aveyronnais", selon les propres termes de Tristan Cuche. Et de détailler la réalisation et la philosophie de ce guide : "Il est réactualisé et toutes les informations sont vérifiées. Les auteurs et les “enquêteurs” sont du cru. Par rapport à d’autres, c’est notre marque de fabrique ! La sélection ? “L’Aveyronnité” du responsable ou une cuisine qui “transpire” l’Aveyron. Mais, on n’ouvre pas les vannes. Il y a une trentaine de nouvelles adresses". Après une rencontre avec Gérard Paloc, alors président de la FNA12 (fédération nationale des amicales aveyronnaises), devenue depuis fédération des Aveyronnais d’ici et d’ailleurs, le Petit Futé a lancé un tiré à part, baptisé Aveyron à Paris. "C’est incontestablement une valeur ajoutée !", s’est réjoui Tristan Cuche. Un sentiment partagé par Corinne Delattre Chavanon, originaire d’Espalion, ambassadrice de la fédération lors de la présentation. Sur 72 pages, ce guide tiré à 50 000 exemplaires recense 250 adresses (brasseries, restaurants, bars, cafés, hôtels et clins d’œil) de la capitale. Il sera distribué, gratuitement, lors du marché des pays de l’Aveyron organisé par la fédération à Bercy du 11 au 13 octobre. Il sera aussi disponible dans les adresses référencées, à l’aéroport de Rodez et dans les offices de tourisme du département. à feuilleter sans modération !

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Pour respecter une tradition désormais bien ancrée, le Petit Futé a décerné trois coups de cœur dans la nouvelle édition de son guide.
- Le pied de poule à Villefranche- de-Rouergue. Dans ce restaurant ouvert fin 2018, situé 52 rue de la République, Oriane Journeau et Guillaume Lacarrière proposent, chaque midi, « des assiettes ficelées de bons sentiments ».
- Sarah conte le fromage à Sylvanès. Sarah Lacaze-Ayral est une épicurienne, et cela se ressent dans son établissement : un bar
à fromage, inauguré au printemps à Rigal, un bout de campagne tout proche de l’abbaye de Sylvanès.
- Au Passage à Rodez. Place des Maçons, émilie (c’est elle qui assure aux fourneaux) et David transforment les produits locaux ou artisanaux, trouvés au marché, en succulentes salades ou piadines.