Decazeville. Mieux comprendre les nouvelles technologies et le DMP

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  • L’atelier de la CPAM
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  • Une partie des personnes ayant participé ou animé cette soirée
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Le CCAS de Decazeville, avec divers partenaires, a organisé à la Strada une soirée ayant pour thème le numérique et la santé. Ont participé à l’événement ou l’ont soutenu : Affirmee (association contre la violence aux femmes), CPAM (Caisse primaire de l’assurance-maladie de l’Aveyron), Maïa (méthode d’action pour l’intégration des services d’aide et de soin dans le champ de l’autonomie), France Alzheimer, le Soleil du Causse (maladies neuro-dégénératives), le cinéma La Strada, les services du CCAS, la mairie de Decazeville.

Cette soirée comprenait trois phases

D’abord, un atelier informatique comprenant deux stands gérés par Jessica Chamayou et Laure Codis de la CPAM. De nombreuses personnes sont venues s’informer comment créer son DMP (dossier médical partagé) qui remplace progressivement le carnet de santé, version papier.

Confidentialité et enjeux éthiques

Les hôtesses, outre l’ouverture des dossiers, ont tenu à rassurer le public : la version numérique offre de nombreux avantages, notamment pour le suivi des pathologies, tout en gardant les données confidentielles. La confidentialité et les enjeux éthiques étant au cœur des questions.

La deuxième phase consistait au visionnage du film "Her", relatant une histoire d’amour futuriste et improbable entre l’acquéreur d’un programme informatique ultramoderne et "Samantha", une voix féminine intelligente, intuitive, étonnamment drôle, qui en est issue. "Désormais, l’intelligence artificielle tient une place importante dans nos sociétés mais il faut démonter les fantasmes et de stopper des peurs inutiles", précise Cyrille Lesenne, pilote et coordonnateur Maïa, formateur, conférencier, impliqué dans le droit éthique.

Justement, dans le cadre de la 3e phase de cette soirée, Cyrille Lesenne et Jean-Marc Lacombe, président du Sismic (association pour le développement des technologies numériques sur les territoires ruraux) ont rassuré leur auditoire : les nouvelles technologies - même si elles modifient nos vies, nos comportements et que des dangers existent - ne remplaceront pas l’homme et sa façon de penser mais doivent l’aider à mieux se soigner, à avoir un meilleur suivi, un accès rapide et fiable au dossier, grâce notamment au DMP.

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