Un très grand cru pour l'édition 2019 de Phot'Aubrac
Des milliers d'amateurs ont parcouru les diverses expositions du festival. De fermes en burons, d'étables en gîtes et autres lieux publics. Un véritable succès populaire.
En quelques années, le festival Phot'Aubrac a acquis une solide réputation auprès des amateurs de photo. Et le succès populaire était une fois de plus au rendez-vous de cette édition 2019. Plus que jamais devrions-nous écrire. Du jeudi au dimanche, des milliers de visiteurs (plus de 15000 selon les organisateurs) ont parcouru les nombreuses expositions (plus de cinquante) de Phot'Aubrac. Des villages en villages, de fermes en burons, d'étables en gîtes et autres lieux publics. L'occasion de faire de très belles rencontres. Avec Hans Silvester, bien sûr, un habitué du festival, qui nous a livré encore un magnifique reportage sur les Suri, l'un des peuples éleveurs de vaches de la vallée de l'Omo, en Ethiopie. Arnaud Guérin, l'homme des volcans, Laurent Ballesta et ses requins de la nuit, Stéphane Gronzotto et ses cachalots ou bien encore Pierre Gleizes, le photographe de Greenpeace et son plaidoyer contre la surpêche. Mais on pourrait également évoquer la Camargue de Thierry Vezon, les ours polaires de Dorota et Bruno Sénéchal, les voix lactées en Asie d'Emmanuel Mingason, la famille kazakhe de Lucie Bressy ou les damnés de Dacca d'Alain Roux. Et bien d'autres... Et que dire de la qualité des conférences dans une Rosée du Matin, pleine comme un œuf. Bref, un véritable régal pour les yeux et un très grand cru pour ce Phot'Aubrac 2019. Vivement l'édition 2020.
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