L'Aveyron à Paris : "Un week-end pas comme les autres !"
Véronique Chantegrelet, la patronne du "Café de Pauline", et Fabien Gayraud, un des trois de "L’auberge aveyronnaise", sont sur la même longueur d’onde à proposde l’impact du marché sur leur affaire…
On peut parler de trois jours de folie !". La formule est de Véronique Chantegrelet, la patronne aveyronnaise (elle est certes née à Paris mais sa maman est originaire de Laguiole) du "Café de Pauline", situé 9 rue de l’Ambroisie, à deux pas du marché. Elle poursuit : "C’est un week-end très, très important. Autant pour ce qu’il apporte que ce qu’il rapporte ! L’ambiance est très sympa et ça nous change aussi du quotidien. La fréquentation est plus importante mais cela a un coût, au niveau de la main-d’œuvre (trois personnes en plus) et de la marchandise". Elle conclut : "C’est une belle fête de famille". Associé à "L’auberge aveyronnaise", qui se dresse 40 rue Gabriel-Lamé, au Millavois Dorian Alvernhe et au Cantalien Cédric Broussole – en charge de la (grande) salle –, Fabien Gayraud, originaire de Lioujas et qui œuvre en cuisine, partage le même sentiment : "C’est un week-end à part et tout va de pair (effectifs, marchandise…). Comme on peut l’anticiper, on s’adapte, notamment, au niveau du personnel. Mais, on fait juste notre travail car on défend l’Aveyron toute l’année". r.d.s.
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