Brandonnet. Embellissement terminé pour le château

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  • Guillaume et Anne de Colonges  devant le château.
    Guillaume et Anne de Colonges devant le château.
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ODILE FAURE

Le 4 août 2010, Guillaume et Anne de Colonges acquièrent le château de Toulonjac, lieu chargé d’histoire. Les familles : de Valette en l’an 1421, déjà un Guillaume de Colonges né en 1468 acheta la Seigneurie de Cénac 500 ans avant l’actuel Guillaume, Jean de Pomairols devint propriétaire avant la révolte des croquants, pour ne citer qu’eux. Ces familles précédèrent l’actuel maître des lieux, cinquantenaire flamboyant, attachant, parfaitement en phase avec le passé de ses ancêtres et avec son époque.

Énormes travaux

Plusieurs années ont été nécessaires pour la réalisation des énormes travaux qui étaient à effectuer. Ils le furent grâce au concours des Bâtiments de France de l’Aveyron et de la DRAC, grâce à l’aide du cabinet LBP Études et conseils, dirigé par Laurent Poujade, grâce aussi à la compétence de l’architecte Jean Javelaud maître d’œuvre, bien entouré d’artisans locaux qui méritent félicitations, le résultat final suscitant l’admiration de chacun. C’est le 31 octobre que fut fêté la fin des travaux en présence d’une nombreuse assistance d’invités, composée de membres de la famille, d’amis, des concepteurs accompagnés des exécutants.

Ce même soir, fut présenté un ouvrage titré "Toulonjac", né d’une idée de Guillaume de Colonges, avec le concours de son épouse, Anne, et la participation de nombreuses personnes. Une réussite !

Guillaume de Colonges contredit La Bruyère

Que notre patrimoine fasse grosse toilette est une excellente chose. Sont à remercier les personnes qui donnent de leur savoir, de leur temps, de leur travail, de leurs finances.

C’est par amour de son pays, par la profondeur de ses racines familiales, que Guillaume de Colonges a posé définitivement son dévolu à Toulonjac, lieu qu’il fréquente en partage avec son adresse à Bruxelles, laquelle est son endroit de travail. Guillaume de Colonges contredit La Bruyère qui écrivait "La plupart des hommes emploie la meilleure partie de leur vie à rendre l’autre misérable".

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