Luc-la-Primaube. Médiathèque : une sélection de courts-métrages documentaires pour jeune public

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  • Les responsables de la médiathèque, Florence, Géraldine et Emilie, proposent de nombreuses animations tout au long de l’année. Les responsables de la médiathèque, Florence, Géraldine et Emilie, proposent de nombreuses animations tout au long de l’année.
    Les responsables de la médiathèque, Florence, Géraldine et Emilie, proposent de nombreuses animations tout au long de l’année.
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CORRESPONDANT

Vendredi dernier, à la salle Antoine-de-Saint-Exupéry à La Primaube, la médiathèque qui participait en partenariat avec la MJC de Luc-la-Primaube, à la 20e édition du Mois du film documentaire, proposait une série de cinq courts-métrages documentaires.

Le premier court-métrage, "Les Verdines d’Antoine", proposait un portrait animé d’Antoine Wiertz, passeur des traditions de la communauté des gens du voyage. À travers les verdines ou roulottes en bois, ce court-métrage dessinait le portrait d’Antoine attaché à la culture de sa communauté. Entre documentaires et séquences animées, l’objet symbolique de cette communauté invitait au voyage.

Le 2e documentaire d’animation, "Madagascar" est raconté sous la forme d’un carnet de voyage, retraçant le parcours d’un voyageur occidental confronté à ces différentes coutumes.

Les pages du carnet se tournent, puis les dessins s’animent, nous parcourons les paysages luxuriants de Madagascar avant d’être initiés à la culture malgache. Le Famadihana, coutume malgache qui signifie "retournement des morts", donne lieu à d’importantes festivités, des danses et des sacrifices de zébus, mais démontre surtout l’importance du culte des anciens dans la société malgache.

Pour le 3e film, "Miniyamba", des élèves du cours de danse afro-contemporaine choisissent de danser dans l’espace public parisien et découvrent leur relation intime à ces danses venues d’ailleurs et d’un autre temps. Chorégraphies qui petit à petit s’inscrivent dans le corps et agissent sur l’âme.

Pour le 4e film, "Mon petit frère et la lune", avec la candeur de ses yeux d’enfants mais aussi un regard fraternel, tendre et aimant, une petite fille nous décrit son frère qui ne fait rien comme les autres enfants. Elle aimerait le faire rire mais il ne dit rien et regarde toujours le ciel. Etonnée, la petite fille l’observe alors beaucoup et essaie de l’attirer dans ses jeux. Une histoire poétique sur la relation fraternelle et qui permet de mieux comprendre le syndrome de l’autisme.

Pour le dernier, "Le COD et le coquelicot", dans une école primaire d’un quartier périphérique de Paris réputé difficile, où les équipes d’enseignants s’épuisent et se succèdent d’année en année, cinq jeunes maîtres sans expérience ont fait le pari de rester.

Cinq ans après, ils parlent de leur quotidien dans ce lieu où ils tentent de construire, dans une alternance de découragement et de projets, une école comme les autres.

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