Rignac. La photo n’est plus un cliché pour Chloé

Abonnés
  • Chloé s’est montrée satisfaite de son stage de photographe, plus que jamais décidée à en faire son métier.
    Chloé s’est montrée satisfaite de son stage de photographe, plus que jamais décidée à en faire son métier.
Publié le
CORRESPONDANT

La réforme des collèges a conduit l’Éducation nationale a inclure dans son programme scolaire une immersion des élèves de 3e dans le monde du travail. Ainsi, Chloé, une élève au collège de Sévérac-le-Château, résidant à Laissac, est venue effectuer dans le cadre de son cursus scolaire ce stage de découverte d’une semaine chez la photographe locale, Myriam Albouy.

Elle avoue avoir été depuis toute petite passionnée par la photographie au point de vouloir en faire son métier.

Mais pourquoi avoir choisi Rignac plutôt qu’un photographe plus près de chez elle ?

" Sur Internet, j’avais le choix entre plusieurs professionnels mais j’ai voulu retenir le côté studio de Myriam par rapport à une boutique qui pratique la vente d’appareils et autres objets ", dit-elle.

Trois axes principaux

La professionnelle locale a proposé à Chloé un stage de 26 heures du lundi au vendredi : " J’ai basé mon stage sur trois axes principaux du métier de photographe ". D’abord le côté technique et artistique avec beaucoup de travail en studio où Myriam, qui aime le contact humain avec les jeunes, a expliqué à Chloé " qu’il ne faut pas prendre des photos en mode automatique mais qu’il faut travailler en mode manuel ". Ensuite le côté commercial : contact avec le public, établissement des devis et des factures, relance auprès des clients. Enfin, le côté juridique avec le cadre légal de l’exercice du métier, le droit à l’image, les droits d’auteur. D’autres sujets ont été abordés avec un panel d’autres métiers liés à cette activité : photo-journaliste, travail en collaboration, montage d’expositions, projets artistiques, partenariats…

Chloé est venue avec son appareil photo et un carnet de notes car il lui faudra faire un rapport de stage qui sera noté par ses professeurs. Et il ne faut rien oublier, surtout pas l’histoire de la photographie qui a commencé en 1827 avec l’ingénieur français Nicéphore Niépce qui a mis 8 heures pour développer la première photographie dans le monde. Au fait, combien de photos obtient-on de nos jours en 8 heures ? La réponse est peut-être chez Myriam, au 8 place Imbert, 06 50 73 80 34.

Cet article est réservé aux abonnés
Accédez immédiatement à cet article
2 semaines offertes
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?