Villefranche-de-Rouergue. "Osons pour Villefranche" se lance dans la bataille

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    Jean-Sébastien Orcibal et Jean-Claude Carrié ont dévoilé le nom de leur liste DDM - GUY LABRO
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C’est le nom de la liste conduite par Jean-Sébastien Orcibal. Elle aura son local de campagne à l’angle des rues Marcellin-Fabre et Bories.

"C’est le plus jeune de la liste qui a trouvé le nom ", raconte, sous forme d’anecdote, Jean-Sébastien Orcibal. Sur le fond, il explique le choix d’"Osons pour Villefranche", appellation donnée à la liste qu’il conduira aux élections municipales du 15 mars. " Ce nom exprime une idée d’unité, de dynamique, d’inventivité, pour rendre de l’attractivité à notre territoire. "

Membre de cette liste, et coordonnateur des "Mardis citoyens", Jean-Claude Carrié complète. " Il est en opposition d’une phrase culte qui synthétise les 19 ans du maire sortant : C’est compliqué. " Et d’asséner : " Nous voulons prendre le contre-pied de l’équipe en place. Soit c’est la continuité, soit c’est une page se tourne. " Jean-Claude Carrié tire aussi le bilan des "Mardis citoyens", organisés sur quatre thématiques différentes. " Nous avons eu un retour très riche. D’abord sur les manques et les difficultés. Mais aussi en matière de propositions, qui vont nous servir à élaborer notre programme, qui sera présenté en début d’année. Une préprésentation sera faite avant à ceux qui ont participé à ces ‘’Mardis citoyens’’, environ deux cents personnes. "

Lui et Jean-Sébastien Orcibal insistent sur cette démarche participative. " Elle nous tient à cœur. Si nous sommes élus, elle se verra dans les cent jours ", assurent-ils, et annoncent la création d’un budget participatif d’un montant de 40 000 à 60 000 €.

La main tendue à gauche

"Osons pour Villefranche" se présente comme " une liste citoyenne et locale, représentative de la ville ". Néanmoins, elle ne refuse pas les soutiens des partis politiques. " On continue à tendre la main à nos alliés historiques de gauche. Je ne vais pas me renier mon radicalisme de gauche et mes valeurs humanistes. On n’est pas anti partis ", lâche Jean-Sébastien Orcibal.

Il ne cache pas que des discussions ont eu lieu avec le Parti Socialiste, et ne ferme aucune porte. " On continue à tendre la main ", répète-t-il. Sera-t-elle prise ?

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