Onet-le-Château. Jean-Marc Lacombe donne sa vision de l’écologie

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  • Jean-Marc Lacombe et son colistier, Mathieu Ginestet.
    Jean-Marc Lacombe et son colistier, Mathieu Ginestet.
Publié le
Salima Ouirni

Mobilité douce, transport en commun, énergies renouvelables et parcs paysagers, Jean-Marc Lacombe explique ses propositions pour une ville qui va "dans le sens de l’histoire".

Face au réchauffement climatique, le pôle écologique ne doit pas être réservé aux États. Il nous appartient de le prendre en charge et donc de favoriser la rénovation au lieu des constructions ", c’est en substance ce qu’annonce le candidat Jean-Marc Lacombe, qui brigue le fauteuil de maire.

Les récentes plantations souhaitées par le maire sortant Jean-Philippe Keroslian, au sein du parc des Quatre-Saisons, ne sont pas du tout du goût du challenger. "Le maire dépense beaucoup d’argent pour planter des essences comme des cerisiers du Japon et des orangers. Des espèces rares et étrangères, donc fragiles par rapport à notre climat. Avec cet argent, on pourrait faire de vraies pistes cyclables et planter des essences d’ici qui tiendront mieux dans le temps. Vous voyez des touristes venir à Onet-le-Château pour aller voir les cerisiers du Japon, en fleurs, au printemps ?", ironise le candidat. Côté énergie, le candidat aux municipales dit "avoir identifié deux hectares de surfaces publiques pour y créer du photovoltaïque. C’est une formidable façon de capter l’énergie solaire et la redistribuer", souligne Jean-Marc Lacombe.

Pour le volet mobilité, sujet important pour la liste de Jean-Marc Lacombe, "Vivre Onet ensemble", on fait des propositions aussi. "Le réseau des bus en commun n’est plus adapté aux besoins des personnes. On voit des bus rouler à vide, tout l’après-midi, là où le matin ils sont bondés. Il faudrait donc revoir les horaires", analyse le candidat. Pour ce dernier, les véhicules sont aussi inadaptés à notre époque.

"Sur l’Agglo, les bus viennent d’être changés pour rouler au gaz. Le sens de l’histoire va vers une décarbonisation. D’ici 5 à 10 ans, la loi, car l’Europe l’exigera, et les États devront s’y conformer, on ira vers une décarbonisation. Nous avons la chance d’avoir une entreprise extraordinaire comme Safra à Albi, et Braley à Onet-le-Château qui est dans la production d’hydrogène", ajoute Jean-Marc Lacombe.

Faire d’Onet-le-Château, une ville où le cycliste roulerait en toute sécurité, fait partie intégrante de la campagne de "Vivre Onet ensemble".

"Il faut arrêter l’hypocrisie de ces pistes cyclables, qui sont tracées et non matérialisés et sécurisées. On l’a vu encore récemment sur la nouvelle déviation à Bel Air, où deux accotements sont appelées des voies douces par le maire. Il y a déjà eu deux accidents à cet endroit. Et quand on part de l’avenue des Capucines, vers Casino, il faut avoir le cœur bien accroché pour traverser. C’est pire, si le cycliste veut aller vers celui de Saint-Marc !", souligne Jean-Marc Lacombe.

Le reste de son programme est détaillé sur www.vivreonetensemble.fr ou la page facebook "Vivre Onet ensemble"

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