Decazeville. Plus de 3 000 entrées pour l’Urban Tattoo show

On avait senti que vendredi et samedi cela bougeait pas mal lors de l’Urban Tattoo show, le 3e Salon de tatouage de Decazeville, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur du Laminoir. Cela s’est confirmé le dimanche. Au total, plus de 3 000 entrées payantes enregistrées pour ce salon, à cette convention comme disent les habitués.

"C’est légèrement supérieur à 2019. On a eu du monde, notamment à l’extérieur avec les animations gratuites, les camions et voitures américaines, apportant beaucoup de vitalité dans la ville. Dépasser les 3 000 entrées, on est content car il y avait un autre salon à Béziers. Cela n’a pas empêché des gens des Pyrénées-Orientales, de Perpignan par exemple, de venir chez nous, c’est très encourageant pour la suite. En plus, l’ambiance était chaleureuse. Beaucoup de personnes, pas forcément des fans de tatouage, nous ont remerciés pour l’animation que l’on propose à Decazeville, originale et bon enfant ", commentait l’organisateur, Damien Vidal. Les artistes tatoueurs ont dans l’ensemble bien travaillé, tout comme les stands marchands. "Quasiment tous veulent revenir en 2021, c’est un signe qui ne trompe pas. Et, financièrement, nous devrions retomber sur nos pattes, c’est le plus important ", ajoute le même.

Élection de Miss pin-up Decazeville

Parmi les animations, il faut aussi citer l’élection de Miss pin-up Decazeville, qui a réuni 12 candidates venues de toute la région Occitanie, nous transportant dans les années 1950, un charme plébiscité par le nombreux public le samedi soir. C’est Elodie qui a remporté l’élection, avec Marie-Charlotte comme première dauphine et Régine comme deuxième dauphine. Tandis que les plus jeunes ont concouru le dimanche après-midi.

Damien Vidal remercie toute l’équipe de bénévoles qui a beaucoup bossé durant ces trois jours et toutes les personnes qui les soutiennent. Il devrait revoir à la baisse le nombre de tatoueurs pour la 4e édition car cela devient une gestion trop importante, mais nous en reparlerons dans une prochaine édition.