Upra Aubrac et Parc naturel régional servent leur territoire sur un plateau !

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  • Claude Miquel (technicien), Lauriane Bos (stagiaire à l’Upra), Jean Ramon (éleveur  à Laguiole) et Sarah Castets (chargée de la communication à l’Upra) ont le sourire : rien ne cloche sur le stand de la race Aubrac et du PNR situé dans le hall 1 !
    Claude Miquel (technicien), Lauriane Bos (stagiaire à l’Upra), Jean Ramon (éleveur à Laguiole) et Sarah Castets (chargée de la communication à l’Upra) ont le sourire : rien ne cloche sur le stand de la race Aubrac et du PNR situé dans le hall 1 ! Repro CP -
Publié le
Rui Dos Santos

En haut de l’affiche en 2018, avec la vache Haute comme égérie de la 55e édition du salon, la race Aubrac est toujours fidèle à l’événement parisien en février, où elle séduit les professionnels, les institutionnels et le grand public. L’Upra (organisme de sélection de la race) apporte toutes les réponses aux questions des visiteurs. Depuis quelques années, il partage le stand avec le Parc naturel régional, dont la présence a pour objectif la valorisation de l’ensemble du territoire et de ses patrimoines, tout en mettant à l’honneur ceux qui le font vivre au quotidien.

Hall 1, allée H, stand 26. N’allez pas plus loin, vous y êtes. C’est là que l’Upra Aubrac a élu domicile, depuis samedi et jusqu’au dimanche 1er mars, à l’occasion de la 57e édition du Salon international de l’agriculture. Le SIA et l’organisme de sélection de la race aubrac… filent d’ailleurs le parfait amour depuis la naissance du deuxième en 1996. "Cet événement à Paris est un moment privilégié pour échanger avec les consommateurs sur le mode d’élevage, les valeurs et la qualité des produits de ce territoire", lâchent, en chœur, le président Yves Chassany et le directeur Jacques Renou. Sur ce stand de l’Aubrac, baptisé "espace vivant et collectif", l’Upra joue la carte de la transparence. Auprès des éleveurs pour "continuer à faire connaître la race, ses qualités indéniables et favoriser ainsi son expansion", mais aussi auprès des consommateurs pour "défendre son mode d’élevage, ses valeurs et la qualité de ses produits ". à Paris, l’Aubrac continue donc de prendre de la hauteur !

L’union faisant visiblement la force, l’Upra, qui est monté à la capitale avec un contingent de 16 animaux en lice lors des concours, partage sa vitrine avec le Parc naturel régional. Alors que la démarche a abouti en 2018, après une décennie de rebondissements, le PNR s’étend sur trois départements, dont l’Aveyron bien sûr, et sa présence au salon de l’agriculture a pour objectif la valorisation de l’ensemble du territoire et de ses patrimoines, tout en mettant à l’honneur ceux qui le font vivre. Diverses animations sont ainsi servies au quotidien.

Une semaine complète d’animations

Alors que ce premier week-end a permis de mettre l’accent sur la Transhumance du dimanche 24 mai avec l’association Traditions en Aubrac et les traditions des territoires avec les cabrettes et les cabrettaïres (elles seront de retour pour le bouquet final dimanche 1er mars), les animations se poursuivent toute la semaine. Alors que la journée d’aujourd’hui est consacrée aux fromages avec la coopérative Jeune Montagne, les viandes, avec le bœuf fermier Aubrac accompagné des pépites du territoire, seront à l’honneur demain. Un coup de projecteur sera fait mercredi sur l’artisanat avec Prod’Aubrac, le bottier de Saint-Côme-d’Olt. Vendredi, l’agropastoralisme, les herbes et La grange au thé (avec Cécile Ducoulombier) seront sur le devant de la scène. Enfin, le lendemain, le bœuf fermier Aubrac tiendra, une nouvelle fois, le haut de l’affiche. Sans oublier le grand défilé !

 

étudiante en 2e année de BTS Productions animales au lycée La Roque à Onet-le-Château, Maëliss Merican a pris la 3e place de la 15e édition des Ovinpiades des jeunes bergers. Quand elle ne s’occupe pas des 800 brebis de la ferme familiale de Cœur-de-Causse dans le Lot, sur laquelle elle compte d’ailleurs s’installer, cette jeune femme de 19 ans joue au rugby dans son équipe lotoise. Engagée !
étudiante en 2e année de BTS Productions animales au lycée La Roque à Onet-le-Château, Maëliss Merican a pris la 3e place de la 15e édition des Ovinpiades des jeunes bergers. Quand elle ne s’occupe pas des 800 brebis de la ferme familiale de Cœur-de-Causse dans le Lot, sur laquelle elle compte d’ailleurs s’installer, cette jeune femme de 19 ans joue au rugby dans son équipe lotoise. Engagée ! Repro CP -
 

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