Rignac. Le maire Jean-Marc Calvet fait le point

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  • Jean-Marc Calvet encourage ses administrés à respecter les consignes sanitaires. Jean-Marc Calvet encourage ses administrés à respecter les consignes sanitaires.
    Jean-Marc Calvet encourage ses administrés à respecter les consignes sanitaires.
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CORRESPONDANT

Quelle est actuellement la situation dans votre commune ?

En règle générale, je pense que les Rignacois ont pris conscience de la gravité de la situation. Quand je me déplace pour assurer l’essentiel de mes tâches, je ne croise que très peu de personnes.

Quelles sont les dispositions que vous avez prises ?

On a mis immédiatement en place un service garderie à l’école Jacques-Perrin pour les enfants du personnel soignant de la communauté de communes. Il est assuré par Christophe Angelbault le directeur du centre de loisirs et Corinne Bousquet la directrice de la crèche. Un maximum de dix enfants peut être accueilli. Au-delà, la directrice de l’école Saint-Joseph est en alerte pour assurer la garderie dans son établissement. Par ailleurs, un local équipé est à la disposition du personnel médical au cas où il faudrait traiter des personnes atteintes par le Covid-19.

Que reste-t-il d’ouvert au public ?

L’accueil en mairie est suspendu mais en cas d’urgence ou de renseignements, une permanence téléphonique est assurée au 05 65 80 26 00, le personnel technique est d’astreinte, l’enlèvement des ordures (sacs noirs et jaunes) est assuré, le bureau de tabac et les journaux restent ouverts le matin, les banques tiennent une permanence le matin.

Le marché du mardi matin a été interdit.

La dérogation ne nous a pas été accordée car sur la commune, avec les commerces de bouche qui restent ouverts, l’approvisionnement est assuré. Par contre, il semblerait que la situation risque d’évoluer vers un possible retour à la normale sous certaines conditions.

Quel message adressez-vous à vos concitoyens ?

On traverse une période difficile, la situation est grave, donc il est impératif de respecter les consignes sanitaires édictées par le gouvernement. Mais il ne faut pas non plus s’en faire une obsession et il faut essayer de penser à autre chose.

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