Le groupe aveyronnais Finadorm rachète Dunlopillo

  • Originaire de Millau, âgé de 56 ans, Jean-Rémy Bergounhe a créé sa première société, Socofal Technilat, en 1984. Il est aujourd'hui à la tête du groupe Finadorm qui pèse 100 M€ de chiffre d'affaires et emploie plus de 700 personnes Originaire de Millau, âgé de 56 ans, Jean-Rémy Bergounhe a créé sa première société, Socofal Technilat, en 1984. Il est aujourd'hui à la tête du groupe Finadorm qui pèse 100 M€ de chiffre d'affaires et emploie plus de 700 personnes
    Originaire de Millau, âgé de 56 ans, Jean-Rémy Bergounhe a créé sa première société, Socofal Technilat, en 1984. Il est aujourd'hui à la tête du groupe Finadorm qui pèse 100 M€ de chiffre d'affaires et emploie plus de 700 personnes Reproduction Centre Presse
Publié le
Rui DOS SANTOS

Créé et dirigé par Jean-Rémy Bergounhe, ce poids lourd de l'économie du département (une dizaine de sociétés, 100 M€ de chiffre d'affaires, plus de 700 salariés) vient de reprendre la marque référente de matelas et accélère donc son développement sur le marché de la literie. 

"Je suis particulièrement heureux de pouvoir reprendre Dunlopillo, une des marques favorites des Français et qui a un rayonnement international". Emu, Jean-Rémy Bergounhe ne cache pas sa satisfaction. Le groupe Finadorm, qu'il a créé en 1984 à Millau et dont il a assuré la croissance, pierre après pierre, ou plutôt société après société (une dizaine au total aujourd'hui dans quatre pôles d'activité, avec 100 M€ de chiffre d'affaires et plus de 700 collaborateurs), a été choisi par le Tribunal de commerce de Paris (la "short list" comptait trois repreneurs potentiels) pour racheter Dunlopillo, entreprise placée en décembre dernier en redressement judiciaire. Le PDG aveyronnais, originaire de Millau et âgé de 56 ans, a toujours gardé une même énergie et un même goût pour les défis : "Je suis certain que nous allons redonner un nouveau souffle à l'entreprise, comme aux 90 salariés que nous reprenons. Mais, il est certain que la situation sanitaire dans laquelle le monde se trouve actuellement avec le Covid-19 freine ce nouveau départ puisque le personnel est en chômage technique et la production à l'arrêt".

Plus de détails sur cette reprise et sur le parcours hors normes de Jean-Rémy Bergounhe dans l'édition de L'Aveyronnais du dimanche 19 avril.

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