Le parc animalier de Pradinas sort de son hibernation

  • Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc.
    Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc. Photos Jean-Louis Bories -
  • Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc. Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc.
    Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc. Photos Jean-Louis Bories -
  • Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc.
    Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc. Photos Jean-Louis Bories -
  • Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc.
    Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc. Photos Jean-Louis Bories -
  • Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc.
    Les visiteurs peuvent de nouveau découvrir les quelque 300 pensionnaires du parc. Photos Jean-Louis Bories -
Publié le
Guillaume Verdu

Depuis hier, les animations avec les animaux ont repris au parc géré par Jean-Philippe Roman.

Au milieu des vols majestueux des rapaces, quelques caprices et la timidité des plus jeunes oiseaux se sont invités lors de la démonstration de fauconnerie menée par Jean-Philippe Roman, hier, au parc animalier de Pradinas. Mais pas de quoi de quoi gâcher la beauté du moment. Ni sa singularité, puisqu’il s’agit de la première animation organisée depuis le déconfinement.

"Les visites du public ont repris le jeudi de l’Ascension", précise Jean-Philippe Roman, le directeur des lieux. En douceur, pour l’instant, puisque "les groupes de plus de 10 personnes ne sont pas autorisés". Mais des visiteurs sont là, tout de même, pour admirer les quelque 300 pensionnaires du parc. "On a joué le jeu pendant le confinement, maintenant on a besoin d’activités de plein air", avancent les Ruthénois Marion et Nicolas, venus avec leurs fils Baptiste et Marceau, qui ont pu découvrir les petits nés durant le confinement.

"C’est un soulagement de pouvoir de nouveau accueillir du public", admet Jean-Philippe Roman. Le parc reprend vie et la billetterie permet de faire de nouveau entrer de l’argent. "On a perdu les vacances d’avril et les ponts de mai", regrette le directeur. Il n’embauchera pas de saisonnier cet été et a décidé de repousser la création d’une forêt aux singes, qui devait être la nouveauté de 2020.

Mais cela ne suffit pas à doucher son optimisme. "Je pense que le mois de juin sera mieux que lors des précédentes années", dit-il. Et il pourra peut-être bénéficier cet été d’une nouvelle clientèle, qui ne souhaitera pas ou ne pourra pas partir à l’étranger.

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