Naucelle. Un budget présenté à l’équilibre

Une séance consacrée essentiellement au budget primitif et à ses annexes et une première pour le tout nouvel adjoint aux finances Ronan Douls, avec l’appui des services municipaux. La commune commence la construction de son budget au mois d’avril en ayant ainsi la certitude de percevoir les dotations engagées dans l’exercice présent (N-1). Une fois l’affectation des résultats votés par les élus, le responsable des finances présentait l’acte fondamental et politique qui permet les futurs investissements de la commune. Le budget général doit être à l’équilibre. Pour la commune sur la section fonctionnement, la somme (dépenses- recettes) est de 2 353 439 €. Sur la section investissement, la somme (dépenses-recettes) s’élève à 2 651 831 €. Anne Trouche présentait le budget assainissement dans le détail en fonctionnement : dépenses-recettes, une somme équilibrée à hauteur de 312 381 €, sur la section investissement dépenses-recettes : la somme de 416 152 €. Un budget adopté à l’unanimité, qui permettra à Karine Clément de le mettre en exécution. Les autres budgets annexes des 2 lotissements étaient votés à l’unanimité (Fauvettes et Escarassous).

Surfaçage du bourg centre : l’offre de l’entreprise Colas est retenue (136 339 €)

Dissimulation éclairage public : il s’agit de la tranche 3 (entre la RD 997 et 226), la participation de la commune est de 30 % d’une enveloppe globale de 101 217 € car il s’agit d’une opération d’embellissement. Dissimulation des réseaux, budget estimé à 14 294 € (participation de la commune 50 %). Éclairage public : contribution de la commune 22 911 € TTC (récupération de la TVA).

Budget consacré aux associations : le montant global de la somme est de 36 000 €. Dans cette enveloppe est comprise la dotation exceptionnelle que reçoivent certaines associations pour des événements exceptionnels.

Annulation des loyers professionnels en cas de fermeture liée à la pandémie : Karine Clément proposait une exonération des loyers des acteurs professionnels locataires de la commune qui ont dû subir une fermeture imposée par l’État.