Avec Orpi Gaffard, un service immobilier clé en main
Installée à Rodez (boulevard du 122e RI) et à Marcillac (place des écoles), l’agence Orpi de Manuel et Aurélie Gaffard a pignon sur rue depuis 16 ans. En cette rentrée, forcément particulière, l’entreprise familiale affiche son optimisme et espère embaucher à l’horizon 2021.
Manuel Gaffard, pouvez-vous présenter votre entreprise ?
Avec ma soeur, Aurélie, nous avons créé l’entreprise il y a seize ans. Après la première agence, à Rodez, nous avons ouvert celle de Marcillac il y a quatorze ans. Deux collaborateurs travaillent à Marcillac avec ma soeur : il s’agit de Yoann, à la transaction, et d’Aurélie, à la location. A Rodez, je travaille avec quatre salariés : Jessica, qui pilote la gestion locative, puis Marie et Julien en transaction. Grégory complète l’équipe comme agent commercial. Nous nous occupons de tous types de biens immobiliers, sur les bassins de vie de Rodez et de Marcillac, à la location ou à la vente, ainsi que de la gestion.
Pourquoi avoir fait le choix, il y a quatre ans, de prendre la franchise Orpi ?
C’était, pour nous, l’occasion de rayonner auprès d’une clientèle plus large, de bénéficier d’outils de travail et de la visibilité de la marque Orpi. Mais nous tenons beaucoup à conserver notre manière de travailler et de rester une entreprise familiale. La proximité avec nos clients est primordiale. Nous les accompagnons au plus près de leurs besoins à toutes les étapes de leur projet immobilier. Le conseil individualisé, c’est la base de notre travail et nous le faisons en équipe, toujours.
Comment se présente cette rentrée pour votre agence immobilière ?
Après le confinement, qui a gelé l’activité puisque toutes les visites et transactions ont été mises en pause, l’activité a très bien repris. Nous avons pu rouvrir les agences le 11 mai. Le Salon de l’immobilier, début septembre à Rodez, nous a amené des clients très intéressés. Nos logements étudiants ont trouvé preneurs, et nous nous lançons désormais à la recherche de biens immobiliers et de potentiels vendeurs, car depuis plusieurs années, nous avons plus de clients que de biens disponibles. Nous avons toujours beaucoup de demandes pour des appartements en centre-ville de Rodez ou des maisons individuelles dans l’agglomération.
Vous voyez le marché immobilier évoluer depuis 16 ans, en Aveyron. Qu’est-ce qui explique sa bonne santé ?
Depuis trois ans, les taux bancaires sont exceptionnellement bas. Cela donne envie à beaucoup de gens d’acheter, de placer leur argent dans la pierre. Au début, à Marcillac, nous avions plutôt affaire à des clients étrangers qui cherchaient à s’installer dans le Vallon. Désormais, ce sont plutôt des Aveyronnais qui reviennent s’installer, pour la retraite, ou avant, et qui cherchent à acquérir un pied à terre.
Récemment, la bonne nouvelle, c’est la prolongation de la loi Denormandie, qui permet de défiscaliser une partie des
travaux réalisés dans l’ancien. C’est un bel avantage pour les clients dans une ville comme Rodez.
Oui, absolument. Nous avons appris sa prolongation jusqu’en décembre 2022. Le marché du neuf étant très tendu, cet avantage fiscal peut donner envie à des acquéreurs de s’intéresser à l’ancien, de rénover. C’est particulièrement intéressant en centre-ville, où les emplacements de l’ancien sont souvent mieux placés que le neuf, et aussi en milieu rural, où l’on trouve des bâtisses exceptionnelles.